Mael Estaul(TERMINER)PARTIE1

Nom: Estaul

Prénom:Mael

Âge:20 ans

Sexe:Masculin

Race :Humain

Métier :Aucun

Statut Social:Handicapé

Alignement : neutre (dépendant de ses actions)

Armes de départ : une béquille ainsi qu’une épée longue avec un ricasso.

Signes Particuliers: Sa jambe droite est inexistante se qui le force à marcher avec des béquilles et sa main gauche ne possède que trois doigts placés de telle sorte qu’il peut tenir et manier n'importe quel objet, mais avec une dextérité moindre, bien qu’il soit gaucher.

Description Physique: Quand on regarde Mael la première chose que l’on remarque c’est sa béquille qui est en fait une planche de bois triangulaire, pointant vers le bas, à laquelle on a rajouté trois lanières de cuir pour y attaché son bras droit. Une au niveau du biceps, une deuxième près du coude et une troisième lanière enroulée autour de sa main qu’il tient fermement. Il tient dans sa main gauche une épée dégainée en permanence, dont il se sert comme seconde béquille. Cependant, n’importe quel amateur d’armes, un tant soit peu expérimenté, reconnaîtrait la perfection de l’ouvrage. Cette épée finement ouvragée se prélassant sur plus de 95 centimètres d’acier trempé est ornée en sa base d’un ricasso. Ce filament argenté s’entortille comme le fond les vagues de l’océan, autour d’une lame aussi affûtée que les récifs les plus traîtres de la terre de Mystros. Ce ricasso servant à parer les coups les plus précis ou à tenir la lame sans se blesser peut ainsi supporter plus habilement le poids de ce chef-d'œuvre, possédant la noblesse de servir un roi. Mael n’a cependant rien de semblable avec cette épée. Certains pourraient même ajouter qu’elle ne sert qu’à supporter le poids de cet infirme qui l’a volé pour se payer à boire. D’une taille habituelle, presque banale, son soulier de paysan troué est assorti avec son pantalon et sa chemise rafistolée emplie de sueur et de boue, témoins silencieux d’innombrables chutes. Son visage, quant à lui, était plutôt le témoin de ses innombrables relevées. Son menton fort et sa peau durcie par le soleil sont couronnés d’un front imposant et de cheveux lui entourant le visage jusqu’aux oreilles ne pouvant mieux mettre l’accent sur ses yeux terreux emplis d’une détermination inébranlable.


Description du Caractère: Si on pouvait décrire Mael en trois mots ce serait ceux-ci : fière, déterminé, explosif. On dirait que le destin lui aie fait cadeau d’une volonté de fer pour compenser son handicap physique. Cependant, n’allez pas croire que les insultes ne le blessent pas, loin de là. Il répondra à chaque offense et se vengera de chaque humiliation portée à son égard. Mais surtout, ne lui dites jamais qu’il ne peut pas faire quelque chose. Il fera tout pour vous prouver le contraire au péril de sa vie et si vous l’empêcher d’avancer gare à vous. Sa colère est impitoyable et elle se reflète particulièrement dans son style de combat. La majorité du temps, il reste calme. Il sait et veut se contrôler, mais si vous pousser le bouchon trop loin alors il ne répondra plus de ses actes aussi néfastes soient-ils pour lui-même que pour les gens qui l’entourent.

Histoire: Mon nom est Mael Estaul.Je suis né dans le village minier de Saletu , très loin de Mystros, au pied de la montagne sifflante. Je suis né avec une jambe en moins et trois doigts dans ma main gauche. Si mon père n’avait pas été le chef du village, il est certain qu’on m’aurait abandonné dans la forêt et j’aurai été mangé par les loups. J’ai pensé longtemps que cela aurait été mieux ainsi. Mais mon père était le maître incontesté de ce village. Il n’était pas noble, mais il en avait la prestance. Il était le seul maître à bord et tout le monde lui reconnaissait ce privilège qu’il avait conquis, non pas, par la force, mais par son charisme et ses talents de leader. En dépit de l’incompréhension des villageois et des pleurs de ma mère pour me laisser mourir, il décida de me garder en vie. La décision était sans appel et quiconque s’en prendrait à moi en paierait le prix fort. Ma mère ne lui pardonnera jamais de m’avoir laissé vivre. Elle ne m’a jamais aimé et c’était réciproque. Dès que mon père n’était pas là, ce qui arrivait souvent vu les obligations, que lui importait son rôle au sein de la communauté, ma mère me martyrisait sans cesse.

À l’extérieur de la maison, c’était tout aussi insoutenable. Le charpentier devait toutes les semaines me refaire de nouvelles béquilles. Je lui disais que c’était parce que je tombais souvent, mais il savait bien que c’était parce que les enfants s’amusaient à les jeter au loin pour me voir ramper dans la boue. J’étais détesté de tout le monde dans le village et je les détestais tous du plus profond de mon âme. J’aurais pu aller tout dénoncer à mon père, mais je n’en ai jamais eu la force. Des deux côtés, les raisons fusaient pour se haïr mutuellement. J’étais maudit. Ce n’était pas de la simple malchance, mais une véritable malédiction. En 12 ans passés dans ce village, ma maison a subi quatre incendies, la forge s’est effondrée six fois et à mon dixième anniversaire le village a subi une horrible famine qui a duré plus d’un an et demi. Devant ces désastres, seul mon père s’opposait à ceux souhaitant mon départ. Mais son obstination suffisait à compenser l’unanimité.

Mais vint ce jour fatidique, c’était mon douzième anniversaire, le village se remettait d’une longue famine et les hommes du village avaient décidé d’aller explorer la mine désinfectée, car on avait entendu dire qu’il y avait de l’or. Ce matin-là mon père partit de bonne heure et vint me réveiller. Je lui ai souhaité une bonne journée et qu’il revienne avec plein de pépites d’or. Il m’a embrassé sur le front, m’a serré dans ses bras et m’a dit :

-Quand je reviendrais, la première pépite sera pour toi

Seulement, il n’y eut pas de pépite d’or parce qu’il n’est jamais revenu. La galerie s’était effondrée en engloutissant la moitié de l’expédition. On n’a jamais retrouvé le corps.

Devant cette autre calamité dont j’étais la cause. Le village tout entier souhaita ma mort. À la place, ma mère, devenue chef du village, conformément aux dernières volontés de mon père, me fit cadeau de l’exil. Je n’eus le droit que d’apporter mes béquilles et se que je pouvais transporter sur mon dos. Je suis partie le soir même. Après trois jours de marches intensives, ma béquille gauche se brisa sous mon poids. Désespéré, endeuillé et affamé je me suis laissé choir dans la boue en souhaitant que la mort vienne vite.

(SUITE PARTIE 2)

(Suite)

Ce fut cependant la vie qui vint à mon secours. Un cavalier errant du nom de Janus Maulasson me recueillit. En lui, je voyais le père que j’avais perdu et lui comme le fils qu’il n’avait jamais eu. Durant plus de 10 ans, je le suivis en tant qu’écuyer à travers ses aventures de vagabond. Les villageois nous voyant arrivés nous surnommaient les chevaliers boiteux. En effet, Janus avait perdu l’usage d’une de ses jambes durant un combat. Il avait dû arrêter de travailler comme garde de la ville de Mystros et se consacrait désormais à voyager à travers le pays en aidant ceux qu’il pouvait aider. Les seuls vestiges de son passé étaient l’épée qu’il avait reçue de son père et l’art de la guerre qu’il avait reçu de ses supérieurs. Mais ne croyez pas qu’en étant infirme il ne pouvait pas continuer de se battre.Il avait développer au fil des années une technique de combat statique baser sur la concentration et le contrôle de soi. Il me disait souvent.

-Pour gagner une bataille, il ne suffit pas de faire un pas en avant, mais d’attendre que son ennemie fasse un pas en arrière.

Un jour, il me donna une épée de bois et me défia en duel. J’avais beau frappé du plus fort que je pouvais je n’arrivais jamais à percer sa défense. Bien qu’il entreprit l’ardu travail de m’enseigner à me battre je ne parvins jamais à maitriser entièrement la technique. Il me dit un soir auprès du feu :

-Mael, tu travaille sans arrêt au point que tu t’épuises. Tu as une détermination que je n’ai jamais vue chez aucun autre soldat. Seulement, tu n’es pas stable. Pour maitriser cette technique, il faut atteindre un équilibre autant physique que spirituel. Or toi tu as toujours l’air entre deux feux. On dirait que tu n’arrives jamais à trouver le juste équilibre en toi.

Il ne m’apprit pas seulement à me battre avec une épée, mais aussi avec les mots. On ne pouvait jamais le prendre au dépourvue dans n'importe quel débat que ce soit. Il écoutait attentivement son adversaire parler pour ensuite le désarmer avec un discours ne dépassant jamais une phrase, mais qui touchait toujours juste. Cela suffisait à fermer le clapet à bien des gentilshommes trop bavards de sa condition physique. Il m’apprit aussi à me faire confiance et à ne jamais baisser les bras.


-Ne laisse personne te dire ce que tu ne peux pas faire.
Voilà la plus grande de ses leçons que j’ai apprises de lui. Mais comme si le destin ne semble jamais se lasser de la souffrance des hommes. La malédiction s’amusa encore à mes dépens. Nous traversions à dos de cheval les petites routes montagneuses des terres du pays quand nous reçus une missive de l’oncle de Janus qui demandait la présence de son neveu à ses côtés afin de régler une affaire d’héritage ou de dette je ne sais plus. L’oncle de Janus habitait au village de Salpêtre de l’autre côté des montagnes. Nous pouvions soit parcourir les galeries naines passant sous les montagnes ou emprunter la route du mineur et faire une halte au village de Saletu pour passer la nuit. À la simple évocation de mon lieu de naissance, je tressaillis. Je n’avais jamais avoué à Janus la véritable raison pour laquelle il m’avait retrouvé aussi faible sur le bord de la route dix ans plus tôt. Je le convainquis que traverser les galeries naines serait le chemin plus rapide. Chose qui était vraie. Mais quand nous arrivèrent à l’entrer des galeries, un nain essoufflé nous supplia de faire demi-tour. Une partie des sous-terrains s’était effondrée et il fallait attendre une semaine avant qu’elle soit entièrement déblayée. J’eus beau m’acharner corps et âme afin de le convaincre d’attendre que les travaux soient terminés, je fis l’erreur de lui dire qu’il était impossible d’atteindre Saletu avant la nuit.

-Ne me dit pas ce que je ne peux pas faire.

Voilà tout ce qu’il me répondit avant de se fermer complètement. Désormais, je ne pouvais plus le faire changer d’idée. Nous arrivâmes à Saletu quelques heures avant que le soleil se couche. Le village n’avait pas changé et les habitants non plus. Bien que j’ai vieilli, ils me reconnaissèrent tous dès le premier regard. Nous n’étions même pas descendus de selle que tout le monde dans les rues criait et m’injuriait.

-Mais enfin qu’est-ce qu’il vous prend messieurs de nous injuriez ainsi? dit Janus décontenancé

Je vis alors ma mère sortir de notre maison. Dix ans avaient passé, mais son visage montrait toujours le même air froid et dur que celui de mon enfance.

-Tu n’aurais jamais dû revenir Mael! cria ma mère hors d’elle-même

-On se calme. Mon nom est Sir Janus Maulasson. Puis-je savoir qui ose parler de la sorte à mon écuyer

-Je suis Firmanel Estaul, chef du village de Saletu, veuve d’un mari assassiné par son propre fils. dit-elle en me pointant du doigt.

Janus me fixa d’un regard voulant dire : Est-ce vrai Mael? Je ne pus que baisser les yeux devant cette accusation honteuse.

-Il a accablé ce village de tous les maux qu’il y a sur terre. Famine, maladie, sécheresse, incendie, éboulement, voila ce que tu nous as apporté mon fils! Nous t’avons condamné à l’exil et tu oses revenir ici. Tu devras payer pour tes crimes. À MORT LE PARRICIDE!!! À MORT LE PARRICIDE!!!!

Tous les Saletois se mirent à scander l’accusation de ma mère. Une fourche sortit de nulle part aurait heurté mon flanc si Janus ne l’aurait fait dévier en utilisant sa lame. Le tintement du métal résonna dans tout le village devenu muet d’un seul coup.

-Monseigneur Maulasson, réalisez-vous ce que vous venez de faire?!

-Au si!!! Je protège mon écuyer contre une mère croyant que commettre un infanticide est une forme de justice.

Ma mère rageait et je n’en étais pas mécontent.

- TUAIT-LES!!! TUAIT LES TOUS LES DEUX!!!

Le reste se passa très rapidement. La foule m’arracha à ma monture ne me donnant plus la possibilité d’utiliser mon épée. Aveugler par la douleur du métal qui venait se blottir dans ma chair, je ne pus qu’entrevoir Janus se diriger vers moi pour me secourir. Au moment où il dressa son épée pour attaquer les hommes me submergeant, une hache vint lui décapiter la tête. Tout devint noir. Ce n’était plus la douleur qui m’aveuglait, mais la rage. Tout mon corps bouillait de cette colère depuis si longtemps refoulée. Je ne sais si j’ai crié. Je ne sais comment j’ai fait pour me défaire de mes assaillants. Je ne sais comment j’ai fait pour prendre l’arme de l’un d’eux. Tout se que je sais c’est qu’à un moment je voyais la tête de Janus tomber sur le sol et l’instant plus tard je me retrouvais debout au centre de la place publique sur ma seule et unique jambe baignant dans la marre de sang de tous les hommes, femmes et enfants du village de Saletu. Est-ce moi qui ai fait ça? Mon épée ensanglantée brisée en deux sous l’impact des coups tomba de ma main me faisant sursauter. Je me mis à chercher désespérément dans les cadavres en rampant. Ma jambe ne pouvant plus supporter le poids de l’effroi. Je reconnus le forgeron, le charpentier et ma mère dans les cadavres. Je me foutais d’eux. Je cherchai quelqu’un en particulier, mais je ne voulais pas le trouver. J’avais besoin de savoir, de croire que j’avais rêvé, de me persuader qu’il n’était pas mort. C’est alors que je vis son corps. L’épée longue ornée du ricasso argentée toujours à la main. Je n’eus pas la force de chercher la tête. Je n’eus pas la force de revoir son visage une dernière fois. Je n’eus pas la force de retenir les larmes et les sanglots dans ma gorge. Je venais de perdre mon deuxième père, mais j’avais l’impression que je pleurais les deux pour la première fois. Il était mort en voulant me sauver. Janus avait consacré son dernier souffle à ma défense parce qu’il était convaincu c’était la chose juste à faire. La justice, voilà pourquoi Sir Janus Maulasson a décidé d’utiliser son épée. Ce jour-là, dans la ville fantôme que j’avais créée, je pris l’épée de mon maître afin de faire justice en ce monde. J’ai juré sur la tombe des deux seules personnes m’ayant aimé, que je consacrerais ma vie désormais à la création d’un monde qu’ils auraient voulu voir : un monde juste.

Le vieux soulon dans la taverne de Mystros me regarda d’un air sceptique.

-HÉ ben voyons….. C’est une sacrée besogne que tu fais là. Hip. T’arriveras jamais à faire ça à toi seul. Hip

-Ne me dites pas ce que je ne peux pas faire. Et je sortis de la taverne avec ma béquille et l’épée de Janus guidant mes pas.

Autre: Mael est sous le joug d’une malédiction dont il ignore la provenance. Seulement puisqu’il était encore dans le ventre de sa mère, quand on lui a jeté le sort, son corps a pu s’adapter à ce sortilège empli d’essence maléfique. Mais pas sans dommage. Une partie de lui, provenant de son père, était emplie d’essence bénéfique. Les deux ne pouvant vivent ensemble ses deux parties de lui-même se livre une bataille continuelle pour conquérir l’âme de Mael. Son handicap physique ainsi que ses malchances répétées sont les fruits de cette bataille. Sans le savoir, Mael influence grandement cette guerre qui l’habite. La patience, l’empathie et le sens du devoir le rapprochent de son côté bienveillant, mais cela amplifie le nombre et la gravité des drames qu’il provoque. Alors que la colère, la vanité et le sadisme le rapprochent de l’essence malfaisante. Il devient moins malchanceux, mais sa santé mentale en paye le prix et devient au bout du compte de plus en plus inhumain.

Puisque Mael est maudit, il lui arrive beaucoup de malchance surtout quand il fait des choses l’éloignant de son côté malfaisant. Je donne donc le droit à tous les joueurs de ce forum de m’infliger des épisodes de malchances, par cela j’entends : me renverser quelque chose de de bouillants dessus, tomber sur un noble, m’enfarger dans les escaliers, etc. Par contre, soyez indulgent je vous pris, si je dois me battre en duel avec vous, ne faites pas quelque chose du genre : « Une météorite apparut dans le ciel et vint s’écraser directement sur Mael qui explosa en mille morceaux ».

Comment avez-vous connu le forum?: J’ai connue un certain Reimroc durant un GN, qui s’est avéré être votre Dark Kain.

(Je préfère quand les bout d'une histoire se suive ^^)

Je vais lire ton histoire d'ici peu, pour l'instant je suis occuper, mais je te jure que demain je lit ton histoire ^^

il y a un détail qui m'échappe mais bon..

Lequelle Sreith

Essaie toujours je peux essayer de l'expliquer.

kain dit kil va lire ton histoire..mais c'est lui qui l'a écrite.

Kevin, tu aurait plus réfléchir... Si c'est moi qui l'a poster et que tu aurais lu mon petit mot à la fin tu aurait vu que je précisisait que je l'avait changer de place tout simplement et que j'avais supprimer son autre topic -.-" tk, je te donne ton rang dans 10 minutes

Bon histoire lu, tu es rang A, mais lorsque tu postera en jeu fait attention au règle d'écriture puisque tu ne l'est a pas appliqué dans ton histoire. Donc un rappel, action en italique, pensée entre étoiles et paroles en couleurs ^^ sur son bon rp

moi, réfléchir? nan...trop dangereux.

tk jme tais.

YOUPI!!!

Tu viens de faire ma journée.

Seulement, je veux savoir quand est-ce que je vais avoir la mention avec le rang A en dessous de mon nom.

Histoire de faire officiel lol

Tu va l'avoir quand Artaher va se connecter ^^

Voilà rang ajouté ^^