Diréno Tsénochliba dit Aisu

Nom: Tsénochliba

Prénom: Diréno

Nom commun: Aisu

Âge: 13 ans

Sexe: mâle

Race : genre d'humain mutant glacial

Métier : herboriste amateur

Statut Social: inconnu

Alignement : neutre, pour l'instant.

Armes de départ : touché glacial (voir dans Autre)

Signes Particuliers: quand il approche, la température chute brusquement (voir Autre)

Description Physique: petit (4'9''), mince mais assez fort, peau bleuté transparente très reconnaissable, cheveux blanc avec des reflets bleutés, visage fin et yeux bleus

Description du Caractère: réservé, Aisu a de la misère à établir des contacts avec les autres. Son apparence éloigne les autres la plupart du temps. Pourtant, il est calme et cède rarement à la colère. Il respecte toujours ses engagements et est toujours loyal.

Histoire: Dinéro est né et a vécu avec son père dans un petit ermitage à la lisière d'une forêt, au nord de Capital. Il n'a jamais connu sa mère, dont mort est due à des complications après l'accouchement. Son père, grand érudit, lui a enseigné la lecture, l'écriture, les mathématiques et un peu d'herboristerie. Il lui a aussi, dès son plus jeune âge, confié toutes sortes de tâches longues et épuisantes, telles que faire une réserve de bois pour l'hiver, tondre les moutons de leur petit troupeau, et même cueillir différentes plantes poussant à des kilomètres de leur petit ermitage, l'obligeant parfois à dormir dans la nature sauvage, et cela dieux seul sait pourquoi. C'est au cours d'un de ces voyages qu'il découvrit un autre ermitage, habité par un vieux sensei aussi vieux que son père mais beaucoup plus actif. Cet ancien maître dont le dojo avait fait faillite, content de trouver en cet adolescent un peu de compagnie, lui proposa de faire de lui son apprenti. c'est ainsi que Diréno commença à laisser seul son père de plus en plus longtemps, parfois pendant plus d'une semaine. À ses retours avec des brassées d'herbes médicinales et de minéraux rares, il flottait toujours dans l'air une odeur bizarre, exotique ou nauséabonde, fumée ou parfum, différente à chaque fois.
Il menais une belle vie, tranquille mais ni répétitive ni lassante, et ne pensais pas que tout pouvait changer quand il entra cet après-midi d'hiver, seulement deux jours après être sortit. un peu plus tôt ce matin là, sensei Kinodjobit lui avait annoncé que son apprentissage était terminé. Il avait passé affectueusement la main dans les boucles dorées de celui qui était comme un fils pour lui depuis deux ans avant de déclarer avec une émotion tangible et aussi une pointe de fatalisme:



Puis il s'était détourner et était rentré dans la chaleur de sa masure, pendant que son ancien élève pleurait à genoux dans la neige. Quand ses larmes se furent taries, Diréno se releva et entama le chemin du retour, cueillant malgré sa tristesse un peu de gui desséché par la température et un gros champignon hallucinogène dans le même état. Quand il entra sans s'annoncer comme à son habitude ce matin là, il trouva avec étonnement son père penché sur un alambique poli par ses multiples utilisations. Il y versait le contenu d'une fiole de verre par petite cuillérées, que son fils reconnu comme l'arsenic qu'il avait rapporté deux semaines auparavant. Totalement concentré, l'alchimiste ne remarqua l'intrus que lorsqu'une petite voix familière mais déformée par un mélange de peur et d'incompréhension demanda:
-Euh, papa... Qu'est-ce que tu fait?

Et tout à coup ce fut l’enfer. En sursautant, l’ermite échappa d’un coup la totalité de sa fiole dans le récipient où bouillonnait déjà quantité d’autres produits. La réaction ne se fit pas attendre. Une explosion de lumière envoya voler tous les objets de la seule pièce du bâtiment, puis une deuxième de son réduisit tout en charpie dans un rayon de dix mètres avant qu’une troisième vague d’énergie ne modifie tout les atomes autour, laissant voir un cratère d’or avec, au centre, une petite bille de le forme d’un œuf de merle, à l’apparence de verre brouillé. Une Pierre Philosophale. Toute cette extraordinaire vision fut alors recouverte par la cendre retombante puis par la tempête.
Quant à son fils, il avait survécu au désastre. Propulsé par la première explosion hors du rayon d’action de la deuxième, il n’avait par contre pas échappé à la troisième. Les molécules amputées de son corps se tournèrent donc pour se compléter vers celles qui, à l’abri du corps d’un jeune garçon, étaient restées intactes; les molécules de neige et de glace.
Plus tard, bien plus tard, il s’éveilla et pris conscience que la nuit était tombée, que sa peau était bleu et qu’il n’avait ni froid, ni faim et n’était pas fatigué. Il ne souvenait de rien de lui, ou presque. Il se souvenait de Rédnalimo Tsénochliba, son père, des plantes qu’il lui avait apprises, de Kinodjobit, des techniques qu’il avait pratiquées en sa compagnie, de son enfance en général et même de la fois où il avait aperçu Capital au loin, mais rien sur lui, pas un souvenir. Un grand redépart.
Perdu, il décida spontanément de rejoindre Capital. Il se mit aussitôt en route, insensible à la tempête qui s’était levée durant son sommeil forcé.
Il découvrit la route un peu avant minuit. Une route pavée où pouvait passer deux attelages côte-à-côte, mais il ne le savait pas, il n’avait jamais vu d’attelage. Puis, un peu plus loin, un carrefour où trônait un panneau directionnel. Il le consulta, puis continua tout droit, maintenant sur de la direction.
C’est peu avant l’aube que l’amnésique remarqua les premiers signes de dégradation de la route. Subitement, des buissons épineux dont il ne connaissait pas le nom étaient apparu sur l’accotement, une roche grumeleuse trônait au centre de la chaussée, il y avait même une grande souche à moitié pourrie! Puis, ils disparaissaient subitement un peu plus loin sur la route. C’était sur cette scène bizarre qu’il s’interrogeait quand il eu la réponse à sa question.
Toutes ces choses s’animèrent soudain. Plutôt ces gobelins.
Le jeune garçon fut soudain assailli par les des centaines de petites créatures de la taille d’une main qui auparavant composaient des objets du décor. Elles l’immobilisèrent au sol, puis dégagèrent un espace devant lui pour laisser passer une autre créature plus grande, et surement plus cruelle. Remit de sa surprise, toutes ses leçons lui revinrent en mémoire. Il se releva d’un bon, soustrayant ses bras et ses jambes aux petites créatures anormalement immobiles. Aussitôt, toutes se jetèrent sur lui. Il se projeta sous le groupe le plus grand, fit une souple roulade puis se retourna, prêt à affronter la masse de créatures. Puis il se détendit; les créatures se tordaient par terre, leur chef mort d’une flèche dans la nuque. Puis il entendit le bruit du galop de son sauveur arrivant.
- Mais t’est t’un p’tit gars! Qu’est-ce que tu faisais là, tout’ seul dans une embuscade de gobelins des plaines? Tu dois avoir eu un sacré choc! Vien, Grégory va t’protéger. C’est quoi ton nom, p’tit? dit l’homme en le montant sur son cheval, qu’il lança au galop.
- Je ne sa… Aisu.
Après un moment de chevauchée, celui qui venait de se rebaptiser repris parole, pour oublier ses douleurs aux cuisses et aux fesses.
- Qui êtes-vous?
- Ch’uis un mercenaire; j’escorte une caravane. Ch’tais parti en éclaireur, pi ch’uis tombé sur toi. T’as eu d’la chance! Tien, voila la caravane. Mais ils’ont pas défait le camp!? Qu’est qu’y foutent?
Un individu à cheval portant, comme Grégory, une cotte de maille et une hache à la ceinture les interpela.
- Tien, Greg! On se demandait où t’était passé! T’est parti en éclaireur, tombé dans une embuscade tendue par des bambins sauvages et maintenant tu reviens avec un otage?
- Presque! Ce petit a été pris dans une embuscade de gobelin, mais ch’uis arrivé à point nommé et j’ai terrassé leur chef d’une seule flèche! Sans lui c’est moi qui y serait passé, donc j’l’ai ramené ici, qu’on lui soigne un peu ses blessures. Pourquoi vous s’êtes pas encore parti?
- Ben… Frévioned, le guérisseur, est tombé malade. Il délire dans sa fièvre, et on attend un moment de lucidité pour qu’il nous donne la recette du remède…
- Est-ce qu’il vomi et agite les bras? Demanda Aisu.
- Euh… oui, pourquoi?
- Intoxication à l’Arstonopicea paria, infusion de Glurénécea fictio trois fois par jour durant deux jours.
- Eh! Tu es guérisseur? S’exclamèrent ensemble les deux mercenaires.
- Ben, pas vraiment, je connais juste quelques plantes… essaya-t-il de se justifier. Mais les deux hommes l’entrainaient déjà vers une des tentes.
La tente du guérisseur était une vraie tanière. Partout, des bouteilles, des pots, des mortiers et des pilons. Heureusement, tout était soigneusement identifié et l’herboriste amateur n’eu aucunes difficultés à trouver le pot de Glurénécea. Deux jours après le début du traitement, le guérisseur fut assez remit pour que la caravane reparte, avec un nouveau membre.
Ils arrivèrent à Capital deux jours plus tard, durant la fête du solstice d’hiver. Chacun reçu sa paie, un petit 50 pièces d’or pour Aisu, dont il dépensa la majorité pour acheter une légère veste, de souples mocassins, une besace, une grande couverture de laine et une outre à rabais au marché tenu par la caravane nouvellement arrivé. Puis, les mercenaires, charretiers et cuisiniers se dispersèrent, certains pour retrouver leur familles et d’autre pour dépenser dans les tavernes leur argent frais. Le petit garçon bleu, lui, se trouva une petite ruelle isolée mais propre et, faute d’autres lieux plus appropriés, s’y endormi.

Autre: Bonus: son touché glacial inflige des dégâts supplémentaires égaux à (niv*5) Malus: son aura glaciale réduit à néant sa discrétion, à température normale. Le rayon en mètre de l’aura est égal au niveau d’Aisu. (PS: changeable)
Il lui reste 15 pièces.

Comment avez-vous connu le forum?: Je suis le cousin d'un participant. Lequel? Mystère... Je suis aussi le frère de Kal. [center]

Premièrement commencons par le départ... trouve un avatar, deuxièmement tu peux pas commencer avec un sort peut importe ton histoire ou autre tu n'a pas le droit à aucun spell avant le niveau dix donc oublie toucher glacial, pour l'autre caractéristique la température peux chuter si tu veux de deux a trois degrés celsius si tu veux... mais pas plus. Sinon rajoute quatre ligne dans chacune de tes descriptions sauf si tu souhaite obtenir le rang C ^^ Après que tu es remplit ses conditions je vais te validée

Pourquoi pas rang B? Il dépasse les 50 lignes nécessaires pourtant.

l'histoire n'ai pas que le seul critère, les descriptions aussi compte de toute façon 50 ligne n'égale pas automatiquement rang B... Donc s'il veux sont rang B il n'a qu'à faire se que j'ai demander voila

Nom: Tsénochliba

Prénom: Diréno

Nom commun: Aisu

Âge: 13 ans

Sexe: mâle

Race : humain

Métier : un peu médecin

Statut Social: inconnu

Alignement : neutre

Armes de départ : art martial

Signes Particuliers: Peu

Description Physique: Le développement d’Aisu a été interrompu vers 15 ans, il a donc l’apparence d’un jeune adolescent. Il n’a pas de barbe, il est petit (4'9'') et mince, mais assez fort pour faire des taches normales, comme transporter un sac de farine. Il a la peau un peu cuivrée et les cheveux très blonds et bouclés. Il les gardes bien en évidence un peu plus haut que le cou. Son visage fin et yeux bleus lui donnent l’air d’un enfant model et naïf. Il ne porte généralement que des vêtements légers, même en hiver.

Description du Caractère: Réservé, Aisu a de la misère à établir des contacts avec les autres mais il est calme et cède rarement à la colère. Il est fier de ses cheveux blonds, la plupart des gens étant bruns. Féru de science, il adore rectifier les autres, surtout les adultes, qui sont un peu honteux d’être moins intelligents qu’un enfant. Il possède un lot de connaissances acceptable et ne demande qu’une occasion de les étaler. Il préfère se faire payer en objets (nourriture, livre ou logis) qu’en argent, qu’il méprise. Il est végétarien et soigne autant les hommes que les animaux.

Histoire: Dinéro est né et a vécu avec son père dans un petit ermitage à la lisière d'une forêt, au nord de Capital. Il n'a jamais connu sa mère, dont mort est due à des complications après l'accouchement. Son père, grand érudit, lui a enseigné la lecture, l'écriture, les mathématiques et un peu d'herboristerie. Il lui a aussi, dès son plus jeune âge, confié toutes sortes de tâches longues et épuisantes, telles que faire une réserve de bois pour l'hiver, tondre les moutons de leur petit troupeau, et même cueillir différentes plantes poussant à des kilomètres de leur petit ermitage, l'obligeant parfois à dormir dans la nature sauvage, et cela dieux seul sait pourquoi. C'est au cours d'un de ces voyages qu'il découvrit un autre ermitage, habité par un vieux sensei aussi vieux que son père mais beaucoup plus actif. Cet ancien maître dont le dojo avait fait faillite, content de trouver en cet adolescent un peu de compagnie, lui proposa de faire de lui son apprenti. c'est ainsi que Diréno commença à laisser seul son père de plus en plus longtemps, parfois pendant plus d'une semaine. À ses retours avec des brassées d'herbes médicinales et de minéraux rares, il flottait toujours dans l'air une odeur bizarre, exotique ou nauséabonde, fumée ou parfum, différente à chaque fois.
Il menais une belle vie, tranquille mais ni répétitive ni lassante, et ne pensais pas que tout pouvait changer quand il entra cet après-midi d'hiver, seulement deux jours après être sortit. un peu plus tôt ce matin là, sensei Kinodjobit lui avait annoncé que son apprentissage était terminé. Il avait passé affectueusement la main dans les boucles dorées de celui qui était comme un fils pour lui depuis deux ans avant de déclarer avec une émotion tangible et aussi une pointe de fatalisme:



Puis il s'était détourner et était rentré dans la chaleur de sa masure, pendant que son ancien élève pleurait à genoux dans la neige. Quand ses larmes se furent taries, Diréno se releva et entama le chemin du retour, cueillant malgré sa tristesse un peu de gui desséché par la température et un gros champignon hallucinogène dans le même état. Quand il entra sans s'annoncer comme à son habitude ce matin là, il trouva avec étonnement son père penché sur un alambique poli par ses multiples utilisations. Il y versait le contenu d'une fiole de verre par petite cuillérées, que son fils reconnu comme l'arsenic qu'il avait rapporté deux semaines auparavant. Totalement concentré, l'alchimiste ne remarqua l'intrus que lorsqu'une petite voix familière mais déformée par un mélange de peur et d'incompréhension demanda:

-Euh, papa... Qu'est-ce que tu fait?

Et tout à coup ce fut l’enfer. En sursautant, l’ermite échappa d’un coup la totalité de sa fiole dans le récipient où bouillonnait déjà quantité d’autres produits. La réaction ne se fit pas attendre. Une explosion de lumière envoya voler tous les objets de la seule pièce du bâtiment, puis une deuxième de son réduisit tout en charpie dans un rayon de dix mètres avant qu’une troisième vague d’énergie ne modifie tout les atomes autour, laissant voir un cratère d’or avec, au centre, une petite bille de le forme d’un œuf de merle, à l’apparence de verre brouillé. Une Pierre Philosophale. Toute cette extraordinaire vision fut alors recouverte par la cendre retombante puis par la tempête de neige qui se leva plus tard.
Quant à son fils, il avait survécu au désastre. Propulsé par la première explosion hors du rayon d’action de la deuxième et de la troisième.
Plus tard, bien plus tard, il s’éveilla et pris conscience que la nuit était tombée et qu’une tempête s’était levée. Il se dépêcha de se lever et de sortir de sa zone d’effet, invraisemblablement limitée, puis il essaya de se souvenir de ce qui s’était passé. Il se rendit compte qu’il ne se souvenais rien de lui, ou presque. Il se souvenait de Rédnalimo Tsénochliba, son père, des plantes qu’il lui avait apprises, de Kinodjobit, des techniques qu’il avait pratiquées en sa compagnie, de son enfance en général et même de la fois où il avait aperçu Capital au loin, mais rien sur lui, pas un souvenir. Un grand redépart.
Perdu, il décida spontanément de rejoindre Capital. Il se mit aussitôt en route, marchant rapidement pour se réchauffer.
Il découvrit la route un peu avant minuit. Une route pavée où pouvait passer deux attelages côte-à-côte, mais il ne le savait pas, il n’avait jamais vu d’attelage. Puis, un peu plus loin, un carrefour où trônait un panneau directionnel. Il le consulta, puis continua tout droit, maintenant sur de la direction.
C’est peu avant l’aube que l’amnésique remarqua les premiers signes de dégradation de la route. Subitement, des buissons épineux dont il ne connaissait pas le nom étaient apparu sur l’accotement, une roche grumeleuse trônait au centre de la chaussée, il y avait même une grande souche à moitié pourrie! Puis, ils disparaissaient subitement un peu plus loin sur la route. C’était sur cette scène bizarre qu’il s’interrogeait quand il eu la réponse à sa question.
Toutes ces choses s’animèrent soudain. Plutôt ces gobelins.
Le jeune garçon fut soudain assailli par les des centaines de petites créatures de la taille d’une main qui auparavant composaient des objets du décor. Elles l’immobilisèrent au sol, puis dégagèrent un espace devant lui pour laisser passer une autre créature plus grande, et surement plus cruelle. Remit de sa surprise, toutes ses leçons lui revinrent en mémoire. Il se releva d’un bon, soustrayant ses bras et ses jambes aux petites créatures. Aussitôt, toutes se jetèrent sur lui. Il se projeta sous le groupe le plus grand, fit une souple roulade puis se retourna, prêt à affronter la masse de créatures. Puis il se détendit; les créatures se tordaient par terre, leur chef mort d’une flèche dans la nuque. Puis il entendit le bruit du galop de son sauveur arrivant.

- Mais t’est t’un p’tit gars! Qu’est-ce que tu faisais là, tout’ seul dans une embuscade de gobelins des plaines? Tu dois avoir eu un sacré choc! Vien, Grégory va t’protéger. C’est quoi ton nom, p’tit? dit l’homme en le montant sur son cheval, qu’il lança au galop.
- Je ne sa… Aisu.
Après un moment de chevauchée, celui qui venait de se rebaptiser repris parole, pour oublier ses douleurs aux cuisses et aux fesses.
- Qui êtes-vous?
- Ch’uis un mercenaire; j’escorte une caravane. Ch’tais parti en éclaireur, pi ch’uis tombé sur toi. T’as eu d’la chance! Tien, voila la caravane. Mais ils’ont pas défait le camp!? Qu’est qu’y foutent?
Un individu à cheval portant, comme Grégory, une cotte de maille et une hache à la ceinture les interpela.
- Tien, Greg! On se demandait où t’était passé! T’est parti en éclaireur, tombé dans une embuscade tendue par des bambins sauvages et maintenant tu reviens avec un otage?
- Presque! Ce petit a été pris dans une embuscade de gobelin, mais ch’uis arrivé à point nommé et j’ai terrassé leur chef d’une seule flèche! Sans lui c’est moi qui y serait passé, donc j’l’ai ramené ici, qu’on lui soigne un peu ses blessures. Pourquoi vous s’êtes pas encore parti?
- Ben… Frévioned, le guérisseur, est tombé malade. Il délire dans sa fièvre, et on attend un moment de lucidité pour qu’il nous donne la recette du remède…
- Est-ce qu’il vomi et agite les bras? Demanda Aisu.
- Euh… oui, pourquoi?
- Intoxication à l’Arstonopicea paria, infusion de Glurénécea fictio trois fois par jour durant deux jours.
- Eh! Tu es guérisseur? S’exclamèrent ensemble les deux mercenaires.
- Ben, pas vraiment, je connais juste quelques plantes… essaya-t-il de se justifier. Mais les deux hommes l’entrainaient déjà vers une des tentes.
La tente du guérisseur était une vraie tanière. Partout, des bouteilles, des pots, des mortiers et des pilons. Heureusement, tout était soigneusement identifié et l’herboriste amateur n’eu aucunes difficultés à trouver le pot de Glurénécea. Deux jours après le début du traitement, le guérisseur fut assez remit pour que la caravane reparte, avec un nouveau membre.
Ils arrivèrent à Capital deux jours plus tard, durant la fête du solstice d’hiver. Chacun reçu sa paie, un petit 50 pièces d’or pour Aisu, dont il dépensa la majorité pour acheter une légère veste, de souples mocassins, une besace où il cacha le livre d’herboristerie que son patient lui avait permit de copier et une grande couverture de laine, tout cela à rabais au marché tenu par la caravane nouvellement arrivé. Puis, les mercenaires, charretiers et cuisiniers se dispersèrent, certains pour retrouver leur familles et d’autre pour dépenser dans les tavernes leur argent frais. Le petit garçon, lui, se trouva une petite ruelle isolée mais propre et, faute d’autres lieux plus appropriés, s’y endormi.
Autre : Il lui reste 15 pièces.

Comment avez-vous connu le forum?: Je suis le cousin d'un participant. Lequel? Mystère... Je suis aussi le frère de Kal. [center]

C'est bon ttu es validé, tu est rang B, bon jeu