Mission de sauvetage (Pv Adel Harak)

Dark marchait lentement dans les rues des riches de la société, ceux qui ont tellement d’argent qu’ils n’ont pas besoin de rien faire pour tous posséder. Ceux qui peuvent vivre en retraite de la société et qu’ils n’ont jamais besoin de travailler pour avoir tous ce qu’ils veulent… Dans se quartier chaque palace avait des gardes à l’entrée et lorsque l’assassin y passait les gardes ne pouvaient s’empêcher de lui lancer des regards glacial puisqu’il n’était pas comme la majorité. Il n’était pas habier en vêtement de haute qualité avec une coupe de cheveux à la perfection, Dark avait plutôt une queue de cheval et des vêtements qu’il portait depuis bien trop longtemps… Il arriva finalement chez le noble qu’il voulait aller voir… Althar Vandrien… Celui qui l’avait envoyé directement dans le désert pour lui ramener son satané objet. Depuis se temps il demandait souvent les services de l’assassin et celui-ci ne refusait jamais puisqu’à chaque occasion il avait l’à chance d’en apprendre toujours et toujours plus… Les gardes lui ouvrirent finalement la grille et l’amenèrent jusqu’à la grande porte… Bien sûr ses gorilles qui lui servait de garde du corps ne pouvait pas le laisser ouvrir la porte tout seul vous donnant l’impression que vous êtes trop incompétent pour ouvrir une simple et unique porte… Dark rentra dans la magnifique demeure des Vandrien, à la longue il s’y était quand même habituer. De voir toutes ses œuvres d’art sur le mur était devenue une habitude et oui même regarder des merveilles finissent par ennuyer un homme. Il rentra finalement dans la chambre du vampire qui lui fit un sourire chaleureux avant d’avancer.

- Bonjour mon cher ami… Tu as finalement reçu ma lettre, je suis heureux de l’apprendre. Chercher des personnes pour accomplir des missions est très ennuyeux, je préfère garder ceux qui font toujours le travaille comme demander.

Bien sûr le noble en avait rien à faire que Dark sois encore en vie, la seul chose qui était important sa sois le fait qu’il n’est pas à se forcer a trouver d’autre sous fifre. Il s’approcha encore du vampire et le regarda dans les yeux en attendant qu’il lui confie sa mission.

-À aucun signe de politesse Kain, tu aurais plus au moin t’agenouiller et me dire bonjour. Il faut dire que tu es vraiment chanceux que je sois une bonne âme… À ses mots le noble ne plus s’empêcher de rire, il reprit rapidement son sérieux pour continuer… Bon, trêve de plaisanterie, de toute façon je ne te fait pas venir ici pour des choses de nobles, bon ta mission sera très simple. Tu prendras le nombre de membres que tu veux, mais je te paye que toi donc occupe toi de séparer ton salaire avec les autres… Bon la mission ou en étais-je… Voila. Il y a un groupe de bandit qui à eu l’audace d’attaquer un de mes convois… TU va allez les détruire et me ramener mon or et tout se qu’ils ont donc s’ils avaient des esclaves ou des objets de grande valeur tu me les ramènes compris…

Dark ne fit qu’hocher la tête pour montrer au vampire qu’il avait compris ses dires. Très simple, tuer une bande de bandit et ramener les objets… Une mission des plus faciles comparer à la première mission qu’il avait reçu ou il avait faillit donner sa vie à plusieurs reprise par contre la valeur en or qu’il avait acquit était tout simplement incroyable. Dark se retourna et quitta la place avec lenteur… En route vers la forêt il s’arrêta dans le parc ou il avait réunion avec son compagnon de mission Derek Durath. Il s’adossa à un arbre jusqu’à ce que celui-ci arrive. Derek sauta d’un arbre et tomba à genou devant Dark…

-Bonjour maitre Kain, tu as besoin de moi…

-Effectivement, mission de récupération… Nous devons tuer et ramener et je crois que l’entrainement que je fais subir au groupe est des plus adapté pour cette mission et puisque tu es le meilleur nous risquons de l’avoir haut la main…

-D’accord maitre, procédure normal je paris… Je vous couvre et je me camoufle dans la flore…

-Tout compris Derek…

Les deux hommes partirent vers la forêt, ils commençaient à la connaitre comme le fond de leurs poches. Habitué au entrainement de la guilde qui se produisait dans cette endroit, ils savaient une bonne majorité des cachettes et tous… D’après la carte que le noble avait prit soin de donner à Dark l’emplacement des bandits était à quelques lieux d’ici… La nuit finit par tomber et le groupe décida de se reposer pour la nuit…

-Bon Derek, demain commencera la mission, aucune erreur n’est permise, nous communiquerons avec signes et nous ne ferons aucun bruit… D’après les informations ils étaient 4 hommes à attaqué le convoi, mais ils en avaient surement de rester dans leur cachette… Donc nous avancerons en progression lente en éliminant le plus silencieusement tous les ennemies potentielle compris…

Derek hocha la tête, et Kain se coucha laissant Derek faire le premier tour de garde… Le lendemin Dark réveille Derek en le secouant légèrement, le lendemain était un grand mot considérant que la nuit était encore présente… La mission commençait à partir de maintenant plus de bruit et progression dans les arbres… Les sens aiguiser de Dark comme éclaireur permettait aisément de sentir toutes présences… Les hommes font tellement de bruit lorsqu’il marche… Les deux hommes traversaient les arbres avec lenteur, ils cherchaient un endroit précis… La planque des bandits… Après quelques heures à chercher ils trouvèrent finalement l’endroit. L’endroit était camoufler par quelques branches, mais pour deux hommes habituer à la traque cette cache était de mauvais gout… En cette nuit il n’y avait surement pas beaucoup de garde dehors, mais pour l’instant les deux hommes devaient rester calme et attendre… En attendant ils en seraient beaucoup plus sur le cercle de rotation des tours de gardes et ils pourront repérer aisément tous les bandits faisant la garde en regardant dans tous les arbres un par un pour éviter de tombée dans un piège.

(Bon j’ai parlé à la place d’Althar, mais c’est mon frère et il était d’accord donc sa règle tout. Pour la suite je t’en ai parlé par MP, mais j’aimerai que tu place les gardes c’est ton refuge donc j’aimerai rentrer dans ton univers à la place de faire comme si je connaissant parfaitement cet endroit sortit de ton imagination ^^)(Ps : Poste de 1000 mots)

La nuit sur le point de laisser place au jour dans quelques heures, les bruits forestiers se faisaient rares. Le "trou" dans lequel vivaient les bandits était brillamment exclu de la vue des routes conventionnelles, c’est-à-dire des passants curieux de faire un séjour dans la forêt sombre en pleine nuit, ce qui leur permettait de faire du bruit ou d'allumer des torches sans se soucier des chasseurs de prime ou des caravanes-pièges. Celles-ci dissimulaient des soldats à la place de la marchandise habituelle, attendant des bandits pilleurs pour les prendre en embuscade et les arrêter/les tuer. Un moyen rapide de se débarrasser des problèmes routiers de la forêt. Au cours des années passées, plus d'une dizaine de disparitions importantes avaient été reportées sur ces chemins grossiers de terre.

Le soleil prendrait son temps pour projeter ses couleurs et sa lumière sur la forêt, laissant plusieurs heures aux bandits pour festoyer et boire, accomplissant une nuit blanche totale. Leur récente attaque sur un convoi leur avait permis d'empocher d'énormes sommes de biens et d'argent. Les cadavres des soldats criblés de flèches gisaient maintenant entre un paquet de feuilles, de terre et de roches, près de leur habitation en bois. D'ailleurs, un homme terminait de les brûler, une flasque d'alcool en main, une torche dans l'autre. Il marchait d'une façon étrange et douteuse: il n'était clairement pas sobre. À ce temps de la nuit, on pouvait en déduire qu'il avait ingéré plus d'une bouteille du liquide dans sa main gauche. Probablement qu'il s'était saoulé durant toute la soirée, et qu'il devait, malgré tout, réduire en cendres les cadavres des soldats protégeant le convoi attaqué qui commençaient à prendre de l'espace, puis, tenir quelques temps son tour de garde. Voilà qui l'agaçait énormément. Aucune bête ne viendrait déranger 6 hommes armés jusqu'aux dents, surtout quand ceux-ci pointaient des torches enflammées, ennemi marqué des animaux sauvages comme les loups.

*hic* Y'en a marre... Il se... Il se passe jamais..*hic*...rien à cette heure là! *hic*...*hic*... Je perds mon temps, comme d'hab...*hic*... comme d'habitude!

L'homme aux torches jeta un coup d'œil aux environs: Les feuilles et les arbres, additionné au fait qu'il n'avait pas la vision totalement claire dans son état actuel, ne lui permettaient pas de voir une quelconque menace dans la forêt. Il se tourna vers la maison de bois. À travers une des fenêtres, il observa ses partenaires: ceux-ci semblaient soit occupés à boire, soit occupés à frapper sur une des 3 femmes leur servant d'esclave. L'un d'eux était même en train de maîtriser la plus petite des trois. Il la plaquait contre le mur et déchirait ses vêtements. Son idée était claire et simple: il ne s'était pas collé au corps d'une femme depuis au moins une bonne semaine. Sa patience personnelle ne supportait pas une telle attente sans divertissement passif de calmer son appétit envers le corps d'une personne féminine. Il se soulagerait donc pendant cette nuit.

Arrêtes de bouger, l'esclave...*hic*... tu m'énerves...!

Le bandit saisit avec difficulté le cou de sa victime. Il resserra son étreinte sur elle. En agissant ainsi, il comptait la dompter comme un chien et lui montrer les valeurs de l'obéissance totale envers une "entité supérieure".

Ah... Enfin... voilà qui est mieux...

L'esclave poussa un cri de douleur et de désespoir. De chaudes larmes coulaient le long de son visage tandis que son agresseur riait sadiquement et de façon perverse. Les deux autres femmes au fond de la pièce n’osaient pas dire un mot. Toutes deux savaient ce qui les attendait si elles tentaient d'aider l'autre: la même situation. Réfugiées l'une contre l'autre, elles tremblaient derrière le support à armes vide de l'habitation. 2 des 5 hommes présents n'étaient pas amochés par l'alcool. Le chef gérait son habituel tas de pièces d'or, calculant ses revenus et sa réserve personnelle totale. Il n'aimait pas l'alcool, et portait ce regard sérieux qui le distinguait des autres. Le deuxième, second en chef du groupe, appréciait tout simplement le spectacle qui s'offrait à lui. Il ne le cachait pas: voir un viol et entendre les cris de la femme violée provoquait en lui un plaisir autant sadique que mauvais.

Allez! Regarde si tu peux te rendre un peu plus loin. On vérifiera si tu peux en faire autant avec les deux autres!

Comprenant qu'elles passeraient en deuxième et en troisième au jeu répugnant des bandits, les 2 autres esclaves se mirent à sangloter à leur tour. Adel pouvait lire le mal dans les yeux du second en chef. Le comportement paranoïaque et dérangé de cette personne n'était pas normal.

Riant sous le spectacle, l'homme à la flasque d'alcool sous tour de garde s'adossa au bas du mur de la maison, relâchant les muscles de son corps. Il avala bêtement une autre gorgée du liquide foncé.

¤ C'est toujours comme sa... À chaque soir, ils sont saouls, excluant le chef et son second... À chaque soir, ils nous menacent de nous battre, de nous violer et de nous tuer... À chaque soir, ils nous blessent... À chaque soir, ils abusent de nous... et nous n'y pouvons rien... Si seulement ils quittaient en groupe de 5, nous aurions une chance d'assommer le garde qui reste en poste... et nous pourrions nous enfuir! La liberté... J'aimerais y goutter encore une fois, comme dans mon jeune temps, il y a plus d'une dizaine d'années, avec père et mère... ¤

En pleines pensées, Adel réalisa qu'un des trois hommes saouls avançait vers elle. Il vascillait de tous les côtés, au passage, et son expression faciale n'indiquait rien de bon...

Hey! Toi! *hic* Retire ta robe... C'est à mon tour de...*hic*...de me divertir! *hic* Allez! J'suis pas pa...*hic*... pas patient, tu sais!

Le bandit posa une main sur l'épaule de la jeune femme et la tira vers lui. Résistant difficilement, elle lui cria de la laisser partir, en se débattant avec acharnement.

J'ai dit non! Lâchez-moi! Je ne veux pas qu...

Adel ne termina jamais cette phrase. Le poing de l'homme saoul s'abattit au niveau de sa tête. Comme d'habitude, il recommençait à la battre avec l'idée simple de tenter de la forcer à accepter le fruit de son corps. Ce n'était pas la première fois qu'il cherchait à la prendre sauvagement lors d'une nuit un peu trop arrosée d'alcool. À maintes reprises, elle avait dû se réveiller rapidement et se débattre furieusement pour se protéger durant la nuit d'une agression nocturne. Nombres de fois elle avait dû s'endormir en se faisant petite, tout en protégeant son ventre et sa tête, puisqu'un autre des trois bandits pouvait décider de satisfaire sa colère et de lui infliger quelques blessures mineures un peu partout sur son corps. C'était une routine continuelle et tellement prévisible qu'elle n'offrait plus les surprises habituelles des premières tentatives par les bandits. Néanmoins, dormir devenait presqu'impossible, d'où la méfiance totale et constante d'Adel.

En bref, seul le chef pouvait vraiment se donner le titre de bandit, et peut-être son second. Les autres n'étaient que des amateurs maniant l'arc et tirant un peu partout dans l'espoir de blesser une potentielle cible, en combat. Ils n'avaient pas de talent réel et suivaient ce genre de vie pour le simple plaisir de pouvoir torturer des esclaves, profiter du salaire généreux du chef lors de la redistribution des revenus des attaques et profaner de la violence totalement gratuite et horrible.

(je ne sais pas si mon poste fait 1000 mots )

(Et oui il fait mille mots ^^) (Si j’ai bien compris il en a que un dehors et désoler si ce n’était pas le cas )

Dark et Derek regardait l’homme ivre avec la torche à la main… Un bucher non loin permettait de voir clairement son visage, un de ses hommes qui ne font que suivent les autres se croyant intéressant, mais tout le sais bien que se genre de personne ne valent rien. C’était surement un nouveau à qui on donner une mission des plus ennuyante pendant que les autres comptait le butin… Celui du trésor d’Althar surement… Dark fit signe à Derek de rester la… L’ordre habituelle attende que sa tourne mal avant d’intervenir ceci allait toujours mieux lorsque l’ont suivait cette logique incroyable… Dark fit le tour du camp, gardant une distance excessivement grande entre le « bucher » et lui pour empêcher les rayons lumineux de détruire son camouflage. Il arriva finalement derrière le bandit… Il était loin derrière lui, mais ce qui contait était seulement le fait qu’il soit derrière son ennemie… Il s’approcha avec lenteur, se que des années et des années d’entrainement lui avait permis d’acquérir et de toute façon les capacités affaiblit de l’homme ne jouerait pas en sa faveur. Il sortit une de ses dagues de jet et prit en hottage l’homme qui était dehors… Il lui plaqua sa main sur la bouche avant que celui-ci est la brillante idée de crier… Il lui murmura d’une voix glaciale dans le creux de l’oreille…

-Sois tu me dis combien de tes amis il y a la dedans ou je te lance dans se magnifique feu que tu as eu la brillance d’allumer…

Le bandit paniquait et tenta de se défaire de l’emprise de Kain ce qui le força à placer sa dague rapidement sous la gorge de l’homme qui cessa sur le champ de se débattre… Il paniquait et il tremblait… Il lui répéta la même question, pour bien lui faire comprendre qu’il ne plaisantait pas…

-Bon c’est la dernière fois que je le répète… Combien il y a de tes amis dedans le trou, si ce que tu me dit semble exact tu es en vie… Sinon tu deviendras très vite ami avec les flammes…

Bien sur comme tous bandits qui se respectent il trahit ses confrères en révélant à l’assassin qu’ils étaient 6 dans le groupe et que la majorité était sous mort… Bien sur l’homme content d’en avoir même rajouter croyait sa vie sauvé… Dark soupira…

-Pour toutes ses informations je vais t’avouer quelques choses… La seule raison qui me pousse à tuer des minables comme vous sont le fait que les âmes noires méritent seulement d’être purifier… Dans ce cas tu as compris adieu…

La lame sectionna rapidement les artères principales de coups laissant l’homme mourir en convulsion sur le sol en se vidant rapidement de son sang, avec son pied il fit rouler le cadavre jusque dans les flammes… Dark s’approcha de la planque et tendit l’oreille question d’entendre se qui se passait… Une fille criait… Il entendait des sanglots… Un bruit sourd quelqu’un venait d’être frapper… Dark serra le poing et tenta de calmer sa respiration… Il siffla quelques peu pour attirer l’attention des gardes, pendant se temps il retourna se cacher dans la sombre forêt… Avec les bruits qu’il avait créé, il espérait que ceux encore sobre décrit par le pilleur allait envoyer encore des hommes voir pourquoi l’autre les avaient appeler… Sinon Dark le savait très bien qu’il serait dans l’obligation de rentrer rapidement dans l’endroit faisant le plus de mort et cette opération deviendrait beaucoup trop risquer…

Alors que l'homme suivant son tour de garde tentait d'arrêter son sang de gicler avec exagération, la "fête" des 5 hommes restants se poursuivait. Ils ne portaient jamais attention à ce qui pouvait arriver à celui en charge de la défense de la porte d'entrée. Jamais il était arrivé qu'une personne pénètre dans un rayon de plusieurs centaines de mètres autour de l'habitation. Et, pour les bêtes, elles craignaient trop fortement d'être brûlées vives pour tenter un assaut. En bref, pourquoi se soucieraient-ils de surveiller leur logis, si rien ne les menaçait de leur arracher la tête ou de leur dévorer les tripes? Mais, pourtant, le chef insistait chaque soir: au moins un homme devait se passer des divertissements intérieur pour se contenter de quelques bouteilles d'alcool et d'un feu de nuit dégageant une odeur de cadavres mutilés.

Poussant son dernier souffle, le garde, mains collées au cou, projeta violemment sa flasque au hasard, question de se libérer la seconde main et de, possiblement, stopper l'hémorragie. Le contenant vola en direction du mur de la maison. Le peu de liquide s'y trouvant se déversa sur la paroi des planches collées une à une. Un bruit aigu retentit entre les arbres. Les cris de festoiement des hommes à l'intérieur de la maison couvrirent l'alerte involontairement lancée par le bandit mort. Heureusement pour Kain, les saoulons n'y prirent pas attention, trop occupé à violer une des trois esclaves ou à battre Adel sadiquement.

SILENCE!

Le chef du groupe s'était arrêté de compter ses pièces. Il s'exécutait la plupart du temps sans pause, mais quand il prenait le temps de relever la tête, de briser la concentration qu'il accordait à son travail et d'ordonner aux autres de ne plus faire un bruit, c'était souvent signe que quelque chose clochait. Bien bâti, il s'imposait généralement face aux autres. Cette fois, il se leva et, sans même devoir lever le petit doigt, son visage força ses acolytes à dégainer leurs armes et à tenter de stabiliser leur corps affaibli et ramolli par l'alcool.

Toi, toi et toi. Avec moi. Pour toi, si tu tiens à continuer à la battre, je ne te retiens pas. Lolan nous a encore fait une mauvaise blague en brisant sa flasque d'alcool vide. Je jure que s'il continue de faire des idioties de ce genre, il va se prendre un beau coup d'épée en pleine tête!

Les 4 hommes commencèrent donc à avancer vers la porte. Deux d'entre eux tenaient à peine debout: le chef et son second se gardaient le privilège et l'intelligence de ne pas se pomper à la boisson en pleine nuit, accumulant déjà une grande fatigue...

Les bandits ouvrirent la porte, épée à demi élevé, comme s'ils savaient que c'était une autre mauvaise blague du garde en poste. Seul le chef gardait un sérieux total. Il lui était arrivé de tomber, à maintes reprises, sur des convois marchands truffés de garde. L'imprudence n'était plus sa miche de pain, depuis plusieurs années.

Allez... on le sermonnera s'il fait encore semblant que des bêtes ou des soldats ravagent la maison...

Comme à l'habitude, un feu était allumé. C'était normal. Le bandit en poste de garde aimait faire peur à ses confrères. Il préparait un feu et accusait des hommes-bêtes ou toute sorte de créature à 3 têtes d'avoir lancer les flammes. Quelle naïveté de sa part de croire que ses alliés le croyaient encore.

Menfin, un second détail attira leur attention. Probablement la longue flaque de sang ainsi que le cadavre du blagueur collé au mur, mains au cou.

Bon... il a changé de stratégie... C'est du sang de mouton ou de loup? Tu te penses drôle, petit malin?

Le chef approcha du corps. Il se pencha et l'examina: avec horreur, il se releva et monta le niveau de son épée, s'attendant à une attaque d'une bête ou de soldats.

Sa gorge... Elle est fraîchement tranchée! Il est mort!

Sur ce, les trois autres hommes froncèrent les sourcils, envahi par un doute et une peur qui les habitait rarement. Un des leur était décédé, assassiné par quelqu'un, ou quelque chose. Épées en main, ils regardèrent entre les arbres et les feuilles, cherchant du regard ce qui avait tué le bandit en poste de garde...

(PS: Désolé, petit poste. Je dois y aller Je pourrai peut-être répondre ce soir, si tu postes)

Dark était caché à l’opposée de son coéquipier, mais en se forçant un peu l’assassin pouvait aisément voir l’ombre de son ami dans les arbres… Bien sur lui il avait l’avantage de savoir à l’avance ou il était pour le trouver ce qui facilitait grandement la tâche. quatre homme sortirent armes levée… Qu’elle plait l’homme avait amené toutes l’artillerie, lui qui pensait que l’homme ingrats aurait envoyé ses sous fifres trop bourrés pour combattre… Finalement il était venu lui-même… Le chef, si le plus battit de tous était réellement le chef… Deux hommes semblaient à peine tenir sur leurs jambes, sa serait un jeu d’enfant de mettre fin à leur vie insignifiante… Par contre le chef et l’homme qui se tenait fièrement à ses côtés serait tout un défit… Le plus vieux celui que Kain supposa être le capitaine semblait avoir vécu de grande bataille et lorsqu’on regardait la danse que produisaient les rayons lumineux du feu dans son visage on pouvait y lire une démence… Quelqu’un qui tue par plaisir et seulement pour voir ses victimes se tordre de douleur… Kain resta silencieux tentant de trouver la faille à la défense des deux hommes sobres. Dark vit enfin l’opportunité qu’il cherchait… Le chef osa se penchée vers le cadavre, l’assassin en profita pour sauter vers un autre arbre laçant d’un geste très habile ses couteaux de jets dans le dos des deux hommes saouls, chacun des deux eurent la chance d’être frapper de plein fouets par deux couteaux… S’ils avaient la chance de survivre sa il s’en remettrait pas de si tôt, une des cibles avaient été atteinte à la nuque. Cet homme était surement décédé, et l’autre avait reçu les deux armes ou aurait du se situer sa colonne vertébral ce qui lui causera surement une paralysie complètement jusqu’à la fin de ses jours.

L’assassin sauta encore quelques arbres question que même en calculant l’angle avec lequel les couteaux avait touchée les ennemies ils ne pourraient le trouver. Il attendait de voir comment le chef du groupe allait maintenant agir dans un combat ou ils étaient deux contre un ennemie inconnue.

*Bon ne reste plus qu’à voir comment se gros chef va agir, je ne doit pas finir contre lui en combat au corps à corps… sans compter que je n’ai pas d’arme pour le combat rapprocher, cette homme doit facilement me surpasser ne force ce qui lui donnerait une trop grande avantage… Sans compter que son associer ne me laissera surement pas combattre en un contre un. Qu’elle mission pénible, pense Dark, vas-y… Un, deux, trois, quatre, cinq… Merde en plus il y en encore en en dedans… mais qu’elle merde…*

Dark croisa les bras accroupit dans un arbre. Il devait être à une vingtaine de mètres des deux bandits qui le cherchaient encore… Il ne lui restait surement plus beaucoup de temps à agir, sois l’ennemie faisait encore une erreur ou sois Dark ne sortirai pas indemne de se combat… De toute façon c’était pour une bonne cause, ses êtres impures ne méritent pas de frôler ses terres.

*J’aimerai bien qu’un jour cette terres sur lequel ne sois plus souiller par le mal, j’aimerai que la terre sois un Paradies comme tu l’étais Énelia.*

Kain poussa finalement un soupir silencieux…

(Désoler ce n’est pas super gros comme topic, mais j’ai rien d’autre à dire puisque je me permets pas de faire bougé les bandits ^^)

(Ne t'en fais pas pour les hommes Tu peux les faire bouger, ce n'est pas moi qui vais t'en empêcher, sauf pour ce poste-ci, s'il te plaît )

Les deux hommes saouls se mirent lentement à s'effondrer. Aucun des deux ne comprenait le picotement qui leur chatouillait le dos. Rien de bien surprenant, pour deux âmes aussi sombres et corrompues. Même en ayant vu les projectiles arriver au loin, ils ne se seraient sûrement pas donner la peine de les esquiver. Voir des couteaux en plein vol les aurait clairement fait rire, d'où leur incapacité à ressentir la douleur à ce moment même. Sans comprendre ce qui se passait, l'alcool paralysait certaines parties de leur cerveau, les résignant à s'affaler au sol en se marrant de façon stupide et irréfléchie. Bien fait pour eux. De toute manière, leur manie de prendre de l'alcool à grand coup la nuit et d'agresser les femmes, les faibles hommes et les enfants démunis leur auraient apporté la mort rapidement.

Bon... voilà ce qu'on va faire... Toi et moi, on rentre à l'intérieur pour chercher du renfort. Si ce ou ces salauds sont toujours dans le coin, ils ne tarderont pas à connaître mon nom! Allez, on s'y m...

Se retournant soudainement vers les 2 bandits morts, après avoir entendu le bruit des deux cadavres heurtant le sol, le chef du groupe et son second furent saisi par une panique soudaine: 3 hommes tués aussi facilement! Mais quels genre de bêtes ou d'assassins pouvaient les avoir repérés et les avoir traqués aussi rapidement et facilement? Était-ce la milice d'un des villages au nord et au sud? Ou peut-être le courroux des créatures de la forêt! Ou, pire, la vengeance des âmes damnées des soldats brûlés au cours de l'énorme feu!!!

Ah...! Nous voilà dans une belle situation... À 2, je doutes que nous ayons une chance... Retourne dans la maison, sur tes gardes. Il faut avertir l'autre g... je veux dire... les deux autres guerriers...

Lentement, les deux bandits s'introduirent dans l'habitation. Ils soupirèrent, soulager de recouvrir un peu de sécurité. Les trous recouverts de volets furent fermés, pour éviter à l'assassin ou aux assassins de voir ce qui se passait à l'intérieur, ou d'entendre par le biais d'ouvertures/de petits trous, de crevasses.

Une ou deux minutes s'écoulèrent. Finalement, la porte s'ouvrit encore. Une personne, probablement un garde, en sorti, seul, une épée longue en main, comme s'il était prêt à parer une attaque. Le chef, derrière lui, ferma la porte après lui avoir lancer quelques mots.

Allons... Montes la garde, mon brave. Si tu me prouves ta valeur, et que tu es toujours vivant dans quelques heures, tu seras reconnu comme étant un courageux soldat! Si tu vois qui que ce soit, attaque le/la/les et décime les. Ne pense même pas. Charges, c'est tout. Tu dois bien retenir ceci: Charges sans aucune retenue! Fonces et tues. Bonne chance...

Instant bien sur ses directives, le chef se mit à rire sadiquement, sans raison apparente. Il referma la porte sur la personne armée. Celle-ci assurait une carrure plus ou moins bien soutenue, tel un bandit de taille moyenne. S'il était garde pour surveiller l'habitation et ses environs, il pourrait se débrouiller avec un autre soldat. Enfin, c'est ce qu'un bon coup d'oeil pouvait permettre à quelqu'un de déduire. L'armure en cuir lui serrait le haut du corps, en évidence trop petite pour lui. Son épée tremblait, tout comme ses mains: il venait de voir les trois cadavres, et sa ne le rassurait en aucun point... Il était difficile de définir un portrait visuel de son visage. Plusieurs lanières en cuir formaient un casque lui recouvrant le visage, les cheveux et sa barbe, s'il en avait une.

Il se débrouillera... Et s'il meurt, on attendra les imbéciles qui oses s'attaquer à cet endroit reculé de la forêt. Si sa tourne mal, les esclaves nous serviront de point de reconnaissance, ou de distraction. Pour une fois qu'elle nous seront vraiment utiles!

Le chef et son second discutait tranquillement, comme si tout était normal. On aurait dit que le dirigeant du groupe ne portait aucun respect à ses hommes et à ses esclaves. Ce qui était le cas. Il savait clairement à qui il avait affaire: de naïfs jeunes délinquants en quête de but à la folie incomparable. Mais ils se savaient utile pour bloquer les projectiles des soldats ou pour les distraire, le temps de les égorger ou de les prendre à revers. D'ailleurs, il comptait bien les envoyer à la mort et garder les profits pour lui-même et pour son assistant.

Bon... où en étais-je déjà? Ah, oui! Je me souviens... 345 pièces... 346... 347...

Comment est-ce qu'on s'arrange avec l'autre? On l'envoie lui aussi à la mort et on se sépare les profits à deux? Sa en ferait plus pour nous...

Shhh... Je veux entendre son corps s'effondrer au sol lorsque les tueurs dehors lui enverront leur poignard en pleine tête!

Le second se mit à écouter attentivement. Il ne put s'empêcher de jeter un oeil à l'esclave qui venait d'être violée. Elle gisait au sol, toujours en train de sangloter. Il se dit que profiter d'elle un peu plus tard, pour lui remettre, encore une fois, une autre dose de souffrance, ne pourrait qu'apaiser l'âme de l'homme sadique.

Je vais surveiller la porte. S'il ou s'ils entrent, ils ne tiendront pas long feu... D'ailleurs, parlant de feu, celui des cadavres continue de dégager une odeur infecte, mais sa vivacité s'appauvrit lentement. On ne tardera pas à devoir plisser les yeux pour voir à travers le noir, ce qui pourrait nous nuire au cours d'un combat, s'il y a lieu...

Ne t'en fais pas, j'ai prévu quelques tours... S'ils viennent dans le noir total, ils auront une surprise... Un vieux mage m'a, autrefois, vendu un élixir puissant, dans le cas où je ne pourrais m'échapper par mes propres moyens. C'est un vieux sortilège qui pourrait aveugler la logique des plus brillants sages. Je ne doute pas de cette voie de sortie, si les choses tournent mal...

Le chef afficha un sourire ténébreux à son acolyte. Son épée gisait sur la table, à portée de main. Et il continuait de compter ses pièces...

(Je ne sais pas si j’avais le droit de toucher celui de la porte, donc j’ai décidé de ne pas le tuer… Mais si je n’étais vraiment pas supposée lui touchée tu le feras sortir de mon emprise. En passant je ne ferai jamais bougée des deux principaux sinon sa gâcherait le plaisir )

Dark tentait du mieux qu’il pouvait contrôler sa respiration, il fallait qu’il garde une parfaite maitrise de son corps. Que ses sens soit en alerte, que ses yeux ne manque le moindre détaille, que ses oreilles le préviennes de tous danger que son corps ne fasse plus qu’un avec la nature. Dark était toute fois troubler des sons qu’il avait entendu, il était capable de tuer un impure de sang froid, mais le cri de ses femmes… Comment des hommes pouvaient-ils autant être en soif de pouvoir… Au point de violer et de battre des femmes… Soudain les deux hommes entrèrent dans leur planque… Dark commença à s’affoler laissant ses pensées se bousculer dans sa tête, qu’est-ce que des bandits pouvaient manigancée… Pourquoi… Tous les stratagèmes inventé par l’assassin venait de tomber à l’eau… Sans il n’avait pas pensée que ses hommes allaient retourner à l’intérieur… Habituellement ils prennent fuite ou cherche partout… Mais la les femmes aussi était en dedans…

*NON! Il ne faut pas qu’il est les tuées… ce n’est pas sa qu’il a fait… Non… Il faut que j’agisse et vite… Je doit pas les laisser mourir…*

Finalement le chef ressortit… Il était avec un autre garde, il semblait tenir bien sa garde… Mais quelques choses clochaient… Les informations du bandit c’était tous avérer vrai… Deux sobres et le reste saoul… Pourtant l’homme devant le chef n’était pas son lieutenant et il semblait aussi sobre que les autres… Le chef rentra à l’intérieur… Ce qui troubla l’assassin rien ne se passait normalement… Il n’avait bien sûr rien entendu de se que le chef avait dit à l’homme… Mais le chef l’avait vu tuer trois hommes en quelques minutes sans se faire voir et il envoyait un homme seul…

*Mais il est complètement fou cet homme… Il envoi un soldat seul… Un piège… Mais pourquoi ce bandit semble sobre… Rien ne marche… Le chef semblait intelligent et réfléchit se cachant dans un endroit fermer et voila qu’il n’envoi qu’un homme et par la suite qu’il se cache en dedans comme un faible… Quelque chose cloche, mais quoi… Réfléchit Dark le temps coule et sa devient dangereux…*

Dark descendit d’un bon de l’arbre, ses années de pratique lui permit de tomber sur le sol sans produire de bruit… Bien sûr son saut avais fait du bruit, mais moin fort que le bruit ambiant de la forêt… Le feu diminuait aussi se qui faciliterai surement la chose… Dark se mit à courir le plus vite possible sur le bout des pieds et s’approcha de la planque ou il freina brusquement… Il fit le tour de celui-ci silencieusement évitant de passer près de la porte… Après analyse il n’y avait qu’une seul et unique porte… Ils étaient donc coincés… Dark s’approcha de l’homme en armure du cuire… Une fois à proximité il plaça une main sur la bouche de celui-ci et sa lame vint se placer à un millimètre de sa jolie petite gorge… Dark prit une grande respiration avant de prendre paroles, ses paroles était murmurée comme un souffle dans l’oreille du garde…

-Bon il y a quelques choses que je ne comprends et j’espère que tu seras assez intelligent pour me l’expliquer sinon tu va finir comme des amis qui ont décidé de ne pas parler. Bon je me doute que tu as déjà aperçut le cadavre de tes amis… C’est moi qui les ai tuées… Et si tu te débats tu finiras comme eux… Je veux savoir pourquoi ton chef est rentrée dans la planque avec son bras droit et qu’il t’envoie seul dehors contre moi quand lorsqu’ils étaient quatre j’en ai tué deux… Tu peux surement me l’expliquer, et inquiète toi pas je n’ai qu’une parole par la suite tu aura la vie sauf bien sûr seulement si je crois tes informations.

Dark finit de parler et par la même occasion sentit le corps du bandit trembler… Il venait de s’en rendre contre que ce bandit devait trembler depuis le début. Il n’était donc surement pas consentant à cet ordre… Mais quand même un bandit qui tremble au point de risquer d’échapper son épée n’ai pas choses courante… Derek suivait bien sûr toute la scène et si un des bandits oseraient tentée de faire un simple coup tordu à son maitre celui-ci serait mort dans la seconde suivante.

Toujours satisfait de ce qu'il avait accompli, le chef du groupe continuait de compter ses pièces. D'un mouvement de main, il donna un ordre subtil à son second, que seul lui-même pouvait saisir. Celui-ci saisit donc son arme et fit face aux esclaves.

Arrêtez de vous affoler, petites sottes. J'aurai peut-être besoin de vous dans un moment

À l'extérieur, le soldat de garde continuait de trembler. Il avait entendu un bruit inquiétant: quelque chose venait de bouger. Il avait alors aperçu le mouvement des feuilles, dans un arbre. Sa tête se déplaçait dans tous sens, comme s'il ne pouvait bouger ses yeux sans faire suivre son visage. Une tension lui frottait hardiment le dos, mélangée au stress et à la peur de se faire empaler vivant par la chose ou la personne qui s'était délecté des cris de douleur des trois autres bandits. Son épée entre ses mains, il posait son regard tout autour de lui.

¤ Pourquoi moi...? Pourquoi est-ce que c'est moi qui se retrouve dans cette situation? Qu'ai-je donc fait aux esprits de la forêt pour qu'ils me punissent ainsi? ¤

Enfin, Kain bondit rapidement et efficacement dans le dos du garde. Il l'immobilisa, lui chuchotant des mots à l'oreille, en plaquant une dague sur son cou. Normalement, une personne censée coopérerait probablement avec le tueur, pour éviter d'être assassiner brutalement. En cas régulier, la personne lâcherait ses armes et tenterait de négocier avec l'agresseur. Mais, étonnamment, le bandit ne lâcha pas son arme et ne dit rien. Il bougea simultanément les mains, de façon légère, comme s'il cherchait à jouer avec son épée. Sans ajouter de mots, il s'arrêta un instant et constata que le résultat escompté avait été atteint: l'épée bascula lentement vers l'avant, en s'arrêtant au contact du sol. La garde, elle, resta plantée dans les mains du soldat. Une situation plutôt comique et totalement ridicule. La personne devant Kain venait de se désarmer, sans aucune raison, comme si elle avait cherché à se débattre tout en lâchant son arme.

¤ Un peu de prudence... et il ne devrait pas y avoir de problèmes... Pourvu que cet assassin ne tente rien contre moi... ¤

Depuis que le tueur tenait le garde en otage, il avait eu la chance de constater que, en posant sa main sur la bouche du bandit, des cordes serrées lui entouraient la bouche. La raison restait jusqu'à maintenant inconnue. De plus, l'épée trop lourde pour lui qu'il tenait commençait à se détacher de l'emprise des mains du porteur. Peu à peu, elle glissa le long des doigts du garde et tomba au sol. Dans sa chute, elle entraîna une section du tissu recouvrant les bras du porteur. Par la suite fut dévoilé des liens de cordage épais autour des poignets du soldat: quelqu'un les avait lié volontairement. En y prenant bien attention, on pouvait constater que les bras du bandit étaient incroyablement fin et maigre, pour un combattant. De plus, collé à l'homme pour l'empêcher de s'enfuir, Kain sentait que l'armure de cuir posait des épaulières trop grosses pour celles du porteur. En appuyant légèrement, celles-ci se pliaient sur elles-mêmes jusqu'à ce qu'elles atteignent les réelles épaules du combattant. En d'autres mots, l'armure de cuir était trop serré vers l'avant du corps mais trop spacieux vers l'arrière et vers le haut du corps. Une autre anomalie chez ce soldat...

Finalement, le bandit releva ses mains, en s'assurant de s'exécuter rapidement. Il posa les cordes retenant ses poignets au niveau de la dague sur son cou, autant pour tenter de les couper que pour retenir l'objet coupant. Misant tous ses efforts sur cette tentative, il exerça une pression sur la dague pour la faire reculer, suivant ce mouvement avec sa tête. Puis, subitement, le garde recula sa tête vers le nez de l'assassin, en cherchant à le déstabiliser ou à briser l'entrée vers ses fosses nasales pour s'enfuir.

Le coup porté fut bref et faible, mais rapide et précis. Il serait suffisant pour que le combattant s'ouvre un échappatoire. Mais, avant qu'il ne puisse constater les dégâts qu'il avait causé, avant qu'il ne puisse tenter de bouger, la porte de l'habitation s'ouvrit. Le second du chef bondit alors vers l'assassin, épée en main, prêt à lui arracher les bras et à faire cuire ses entrailles pour nourrir les esclaves. Ce revirement de situation permettrait sûrement au garde de s'enfuir vers la forêt. Si Kain était suffisamment surpris par les deux attaques qui venaient peut-être de le surprendre, le porteur douteux à l'armure de cuir s'enfuirait à toutes jambes en tentant de semer le tueur ainsi que le second fou du chef...

(À toi de voir si le soldat louche s'échappe, ou si le second du chef est blessé/meurt )

Dark ne portait pas attention au mouvement de l’épée qui ressemblait plus à un homme qui s’en va se désarmer qu’une méthode pour trancher des liens… Malgré le stress qui l’envahissait son cœur battait lentement calculant tout à la perfection ou presque… Il remarqua aisément quelques défauts dans l’armure de cuir du bandit, mais n’y porta pas attention se disant que si l’armure était dans cette condition c’est qu’il l’avait volée à un autre garde. Tout simplement en fait… Dark commençait à s’impatienter, l’homme n’avait encore rien dit… Il pointa sa lame légèrement dans la gorge de son otage pour lui montrer qu’il ne blaguait pas… Finalement un il sentit un mouvement… Trop tard… les liens de l’homme se sectionnèrent sur sa dague et l’assassin eu tout juste le temps de se lancer par en arrière pour éviter que la tête du bandit brise son nez… Kain fit plusieurs roulades sur le sol avant de se relever stable… Il chercha l’homme du regard… Mais un bruit sourd le fit se revirer oublier complètement qu’un bandit venait de lui échapper… Prit entre deux feux et toujours stresser des cris de femme entendu plutôt Dark se fit finalement avoir… Pour la première fois de sa carrière ses émotions avaient réussit à le faire perdre un duel… Qu’elle connerie, la lame de l’homme lui coupa la chair dans une ligne diagonale partant de son épaule gauche jusqu’au côté droit de son thorax… Dark tomba un genou à terre, la lame l’avait belle et bien coupée, mais pas assez profond pour le tuer ou même le mettre dans un danger de mort… Par contre elle la douleur était bien présente. Dark n’avait pas encore la force de se lever et il fit le second lever son arme vers le ciel pour l’abattre sur sa tête quand une flèche vint percer la gorge du lieutenant… Bien sûr avec tout ce qu’il c’était passer depuis le début aucun des membres adversaires n’avait prit la peine d’émettre l’hypothèse que l’assassin n’était pas seul… Derek sauta de son arme et courut jusqu’à son chef qui commençait à saigner abondamment… Derek lui fit un bandage rapidement pour tenter de ralentir le sang qui avait complètement abimé son manteau et ses chandails.

-Kain, vous allez bien, on abandonne la mission… On ne peut pas continuer vous risquez votre vie la…

Derek avait bien vu que son maitre avait hésité… D’ailleurs il évita de parler de se problème, il n’avait pas envie de rajouter des remords à son maitre… Déjà qu’il avait en quelques sortes échouer sa mission Derek ne voulait pas lui détruire le moral… Les deux hommes soupirèrent en même temps et Kain finit par se relever avec difficulté… Il n’en restait qu’un… Le chef… Le reste devrai être un travaille facile… L’assassin avait déjà combattu en mauvaise état et il avait bien l’intention d’aller jusqu’au bout, tous les éliminer, ramener l’argent et sauver ses pauvres femmes torturées…

-Derek… Oublie sa tout de suite, on finit cette satanée mission et on ramène tous à Althar… On partira à la poursuite de celui qui c’est échappée après, bien sûr avant on refera mon bandage et ont appliquera quelques potions qu’on a en réserve…

-D’accord maitre…

Les deux hommes fixèrent la porte attendant que digne chef ose se montrer le visage pour que tout cela finisse enfin. Cet homme méritait la mort et les deux coéquipiers ne le laisseraient pas partir en vie… Cela est sure…

(Je parie que le perso qui c’est enfui était le tiens déguiser en homme… si c’est le cas j’aimerai bien faire une poursuite et pouvoir parler à ton persos… Si ce n’est pas le cas mon persos trouvera les trois femmes et le trésor et les ramènera à son maitre.)

(Peu importe ce que tu as compris, si tu veux parler avec mon personnage, je ne te retiens pas )

Se libérant enfin et l'assassin, et en même temps des liens qui l'empêchaient de bouger librement ses bras, le bandit se mit à courir à pleine jambe vers la forêt. Il ne prit pas le temps se retourner pour voir la suite de la situation ou de ramasser son arme: il fonça à pleine vitesse pour fuir le tueur. C'est à ce moment que le second frappa douloureusement Kain. C'était une bien grave erreur de prendre en otage un soldat et un soldat louche sur le lot total: le chef, ayant clairement vu son premier homme mort par égorgement, n'avait pas hésité une seconde. Il se doutait beaucoup qu'envoyer un de ses gardes seul à l'extérieur de l'habitation causerait sa mort. Il le savait. Et c'est exactement la raison pour laquelle il l'avait fait. Étant presque sans défense, et sans aide externe, le pauvre allait soit se faire égorger, soit se faire menacer de mort, une dague sous la gorge. L'assassin allait donc approcher à une distance suffisante au second pour frapper. Ce qui se passa. Saisissant sa chance, Kain avait sauté sur le soldat louche, en oubliant de calculer la distance entre lui et la porte de la maison. Malgré tout, le chef n'avait pas prévu que son acolyte réagisse aussi lentement. Si ce n'avait pas été de la lenteur du tueur à égorger sa cible, l'attaque n'aurait jamais porté ses fruits: l'assaillant aurait ouvert la porte en trombe, pensant provoquer une embuscade, mais il n'aurait trouvé qu'un cadavre de plus dans le lot, ainsi qu'un feu commençant à réduire d'intensité.

356... 357... 358... et puis quoi...? Il n'avait aucun avenir, de toute façon. Son sacrifice m'aura évité bien des problèmes... Maintenant, je sais qu'il se trouve juste là, derrière la porte, et qu'il est blessé. Le bruit d'un cadavre tombant au sol... Étrange... Ce n'est pas celui du faux garde... c'est bien celui de mon second... Étrange qu'elle est réussi
à échapper au tueur... Il faut croire qu'il a une âme. Mieux vaut exploiter cette faiblesse...

Tandis que le commandant de la troupe déposait le sac de pièces qu'il avait comptées, le sous-chef renvoyait son âme hors de son corps, rendant un dernier souffle. Le meneur du groupe sorti un petit objet de sa poche, en forme de boule noire. Un liquide à l'intérieur s'y trouvait. En rouge, écrit par le sang même d'un agneau fraîchement abattu, on pouvait lire "Élixir d'aveuglement et de démence partielle". Procuré chez un vieux sorcier fou, cette fiole pouvait causer bien des problèmes aux hommes en mission. Un seul regard... Un seul coup d'oeil... Une conscience trop curieuse... et l'élixir provoquait un picotement aux yeux qui pouvait irriter pendant plusieurs dizaines de secondes les cibles, de quoi les embrocher ou s'enfuir incognito.

Bon j'imagine que c'est mon tour... Je vous rapporte une ou plusieurs têtes. On les accrochera à la porte, demain, question de faire peur à d'autres petits curieux qui tenteraient de nous voler notre butin...

L'imposant chef, d'un coup de poing, fracassa les volets de la maison. Il lança l'élixir d'aveuglement et de démence partielle, puis se mit dos au mur, évitant de se porter dans le champ de tir du sortilège, lorsque son contenant se briserait au sol et libérerait le maléfice l'habitant.

3... 2... 1... boom!

L'élixir heurta le sol de plein fouet, se réduisant en plusieurs dizaines de morceaux. Une étrange orbe noire se forma en peu de temps à partir du liquide. Quelques secondes, peut-être le temps de réagir en regardant dans une direction opposée, suffirent à cette boule pour se répandre de tous les cotés, chargeant des lignes de plusieurs mètres en forme de lance en l'air.

À MORT!!!

Le chef patienta que l'effet du sortilège se dissipe dans l'air, c'est-à-dire environ une demi-seconde, et il fonça, épée en main, vers le ou les ennemis qui lui ferait face. Il était bien déterminé à sauver sa propre peau, et à garder son butin. Derrière lui suivait le dernier des gardes saouls, celui qui aimait frapper violemment Adel. Il avait déduit difficilement, de par son cerveau ramolli à l'alcool, qu'accompagner son chef lui serait peut-être profitable, sans vraiment comprendre pourquoi il s'imaginait une telle chose...

À une cinquantaine de mètres plus loin, le soldat qui avait pris la fuite s'arrêta. Il retira les liens qui bloquaient sa bouche, l'empêchant de parler et de révéler la supercherie du Chef, lorsque l'assassin s'en était pris à lui. Par la suite, il retira son armure de cuir trop grande, se retrouvant en sous-vêtement dans la forêt. Une paire de yeux indiscrets, à ce moment, auraient vite fait de comprendre qu'il s'agissait d'une femme, et non d'un homme. Adel avait trompé la mort, encore une fois, comme à son enfance. Et, du même coup, il s'imaginait que, les bras chargés avec l'assassin, le chef et son second auraient du mal à la retrouver dans une forêt aussi immense: elle n'était plus une esclave!

Combien de fois ai-je rêver à ceci... Combien de fois me suis-je demandé si j'allais enfin pouvoir sortir de ce cercle vicieux d'esclavage... Combien de fois ai-je souhaité pouvoir dormir sans garder un oeil sur deux ouvert pour surveiller ces hommes?

N'étant pas bête, la jeune femme avait pensé à dissimuler sa robe noire au niveau de son dos, là où l'armure lui permettait de stocker un objet de ce genre. C'est pourquoi elle enfila rapidement celle-ci, satisfaite de ce qui venait de se passer, malgré les émotions.

Elle prit donc quelques minutes pour souffler un peu, et pour penser à ce qui venait de se passer. Son soulagement grandissait rapidement. Plus elle pensait à son évasion, et plus elle se rappelait les abus qu'elle ne subirait plus. Il ne lui restait plus qu'à courir jusqu'à un lieu qui lui serait familier, ou jusqu'à la civilisation. Il ne lui restait plus qu'à parcourir toute cette distance, le ventre vide, et avec un grand manque d'énergie dû à la nourriture qu'elle recevait chaque matin et soir, en guise de repas. Un bol d'eau et une miche de pain... De quoi tenir quelques minutes à la course, et s'effondrer ensuite...

Je dois me ressaisir... Je dois courir... Je dois m'enfuir... et vite!

Ce n'était pas la volonté qui lui manquait, mais bien les forces. Adel commença sa traversée de la forêt. Elle parcourut pendant des heures une distance spécifique. Enfin, c'est ce qu'elle pensait. En réalité, une minute, quelques secondes et le sol mou... Voilà le résultat de son effort. Elle s'écroula au sol, la tête enveloppée dans ses cheveux.

Le soleil se lèverait dans environ 1 heure, ce qui laissait le temps aux loups se la trouver et, probablement, de savourer ses organes avant de retourner à leur tanière...

(Je me demande combien de mots pour ce poste-ci... P.S.: Contrôles le chef si tu veux, et l'homme saoul aussi. Ils ne me concernent plus, je crois )

Dark rêvait… À un rêve qu’il avait du faire des centaines et des centaines de fois… Ce rêve qui était une reproduction parfaite de la vérité, mais quelques fois l’imagination peut bien y incruster quelques illusions pour rentre le tout encore plus dramatique encore et encore… Dark rêvait de cette journée, il y a une dizaine d’année… Il attendait encore sa dulcinée, il la cachait maintenant depuis 6 ans, tous allait bien, il avait cessé de tuer par plaisir, cette femme l’avait changée… Par contre à la place de voir arriver sa belle, il vit son père le sourire aux lèvres. Celui-ci avait une lueur si malsaine dans ses yeux sombres, comme une étincelle rouge dans un nuage de ténèbres. Il prit finalement paroles…

-Dark… Tu étais ma réussite, tu étais une machine à tué et tu ne ressentais jamais rien, jamais une émotion. Tu étais en quelques sortes une centaine de fois mieux que t’es minable frère… Par contre cette chienne ta changée… Donc j’ai décidé de la capturer, tu ne pourras plus jamais la voir et je vais la torturer pour toutes ses années ou elle aurait dut être morte… Maintenant revient à la maison et vie la vie que tu aurais dut vivre et devient le digne successeur de la famille Kain…

Dark avait les yeux qui devenaient brouillé, il n’avait pas encore la force de tuée son père, il devait s’entrainer et tout faire pour la retrouver… Par contre il y avait le vieux serviteur de la famille qui informait Dark dans ses lettres que sa belle était toujours en vie… Surement que cet homme était son seul allier dans cette famille des plus disjonctée…

Pendant se temps Derek regardait encore ses deux malades couchées sur le sol attendant avec impatience qu’un des deux possèdent enfin la force de se lever car en se moment Derek commençait à désespérer de plus en plus sur qu’aucun ne survivrai à cette journée… Toujours adossé à son arbre, il s’en allait fermer les yeux quand il remarque un léger mouvement chez la jeune fille. Il s’approcha d’elle et mit sa main sur son ventre sentant sa respiration devenir de plus en plus vite… elle reprenait conscience? Derek restait proche silencieux notant tout changement, elle reprenait des couleurs c’était surement bon signe… Derek regarda la jeune Adel reculer les yeux fermées et finit par s’accoté sur lui… Il devint rouge… D’un côté il voulait s’en aller de cette position qui le gênait et de l’autre il avait peur que bouger trop brusquement la surprenne et la fasse replonger dans son malaise… Il décida finalement que c’était mieux qu’elle remarque d’elle-même qu’elle était appuyée sur un homme. Finalement lorsque la jeune femme cria Derek fit pratiquement un bond par en arrière et tomba finalement sur les fesses à un mètre d’Adel… Dark se réveilla aussi sur le même coup… Le crie d’Adel l’avait sortit de son rêve… Derek *Mais pourquoi à t’elle crier, elle est folle j’ai faillit faire une crise cardiaque*

Dark lui regardait de ses yeux grands ouvert Adel, ne comprenant pas de un se qu’il faisait coucher, de deux se qu’elle faisait à côté de lui et pour terminer pourquoi il y avait eu se sont si fort et si aigu qui l’avait sortit de plein fouet du monde des rêves. Lorsque l’assassin vit que la fille tenta de nouveau de s’enfuir ses réflexe prirent le dessus et la dépassa pour stopper sa course… Sa tête tournait un peu, mais il fut quand même capable de se tenir droit et de prendre parole… Durant se temps le jeune Derek arrivait derrière la fille pour prendre parole au cas où s’on maitre s’emporterai…

-Bon premièrement je veux des explications… Première qu’est-ce qu’on fait tous ici… Et qui est-elle Derek?

-Dark, je ne sais pas mais j’ai libérer deux femmes lorsque la fin est arrivée et par la suite j’ai courue avec toi sur le dos et tes blessures étaient trop grande et lorsque j’ai décidée de vouloir te guérir je suis tombée sur cette jeune femme couchée sur le sol… J’ai prit bon soin de la soigner aussi…

-Bonne initiative…

Dark regarda la jeune femme dans les yeux, il se souvenait qu’un des gardes s’était enfui et peut-être que cette femme en serait quelques choses... Dark avait participé en tant d’interrogatoire, mais pour la première fois dans sa vie il ne torturera pas sa cible…

-Salut, on va commencer par la base. Je me nomme Dark Kain, si vous connaissez mon nom de famille je préfèrerai que vous n’en preniez pas compte… Habituellement je mens sur mon identité, mais comme Derek à clairement prononcée mon prénom on va laisser tomber les mensonges… J’aimerai savoir qui êtes-vous? Qu’est-ce que vous faisiez étendu sur le sol… N’essayer pas de me mentir je vous pris cela ne marchera pas et de toute façon je ne vous ferez pas de mal je vous le promets, je n’ai qu’une parole…

De toute façon Kain n’attaquerai jamais une jeune demoiselle, la seul ayant tuée dans sa vie étant le couple d’assassin rencontrer dans l’attaque portée par Robespierre contre les forces brigandes dans le Nord de la forêt…