Le Royaume de Mystros
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 Présentation d'Élohim Varidan (Pas terminée) (6 000/10 000) Ne répondez pas tant que je n'aurai pas fini l'histoire SVP.

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Knochen
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MessageSujet: Présentation d'Élohim Varidan (Pas terminée) (6 000/10 000) Ne répondez pas tant que je n'aurai pas fini l'histoire SVP.   Présentation d'Élohim Varidan (Pas terminée) (6 000/10 000) Ne répondez pas tant que je n'aurai pas fini l'histoire SVP. Icon_minitimeSam 6 Déc - 18:35

Nom:

Varidan

Prénom:

Elohim

Âge:

127 ans

Sexe:

Masculin.

Race :

Ange

Métier :

Soldat de la troisième division et membre de la société secrète Les Dix Rose noire du Châtiment

Statut Social:

Capitaine de la troisième division

Alignement :

Bien

Armes de départ :

Épée batarde en acier trempé bénie par ses maîtres.

Signes Particuliers:


Il a une tache de naissance en forme d’ange sur sa poitrine. Celui-ci a les ailes déployées, l’épée dans une main et une manifestation de l’essence dans l’autre.

Description Physique:

Elohim est relativement grand, il mesure deux mètres vingt-deux centimètres. Il a des cheveux blonds pour le moment, mais quand il aura atteint un certain niveau de sagesse, ils deviendront blancs, puis argentés. Il a la peau blanche, on pourrait le croire albinos, mais c’est sa nature angélique qui lui procure cette couleur, ou plutôt cette absence de couleur si particulière. Par contre, il ne craint pas le soleil comme les albinos, mais le recherche puisque celui-ci est la plus grande manifestation physique de la lumière dont il tente d’illuminer son âme. Il à les yeux bleus, mais eux aussi seront emmenés à changer quant il atteindra une certaine hauteur spirituelle. Son nez est petit, gracieux dans son visage presque parfait où des lèvres d’un rose pale sont accentuées par la couleur ivoirine de sa peau. Son menton, for bien dessiné, termine de façon sublime son visage. Malgré cette grâce presque efféminée, Vivion est fort et endurant, mais il n’est tout de même pas le plus fort des anges,il y a même des mortels plus forts que lui. Il a peu de cicatrices car à chaque foi qu’il se blessait dans son entraînement ou dans sa vie de tous les jours, un ange plus fort que lui guérissait parfaitement ses blessures. Il a été encouragé à s’occuper de son corps le mieux possible, puisque c’est son enveloppe matérielle et que sans elle, il ne peut pas agir pour essayer de changer le cour des chose et pour tenter, comme tous les êtres vivants, d’améliorer tant soit peu le monde dans lequel il vit.


Garde-robe:

Elohim porte principalement des tuniques de couleur changeante. Il porte aussi bien le rouge que le bleu, en passant par le mauve et le blanc. Habituellement, ses tuniques comportent un capuchon qu’il porte constamment, sauf pour se battre. Il porte des bottes lacées d’une très belle facture. Elles conviennent aussi bien au combat qu’à la marche ou à la course. Sous sa tunique, il porte une protection légère en cuir renforcé pour prévenir toutes situations mineures où sa vie pourrait être en danger.

Description du Caractère:

Elohim est un ange. Les anges doivent être calme et réfléchi vous me direz. C’est vrai, il est tout cela, mais il possède aussi une fougue incroyable quand il faut se battre pour préserver la sécurité d’autrui au détriment de la sienne. Il a un dicton qu’il tente d’appliquer à la lettre. ‘‘Les autres sont plus important que moi, jusqu’au moment où ces autres me menacent.’’ Son objectif dans la vie est de devenir le plus sage possible et d’entretenir avec les autres comme avec la Puissance, que les anges nomme tout simplement Dieu, une relation aussi bonne, fructueuse et harmonieuse que possible. Elohim croit en la Puissance qui le protège, l’aide a prendre les décision les meilleures possibles et à le guider sur le chemin de l’évolution spirituelle. Cette puissance est là pour qui arrive à l’entendre. Elle prend sa source dans l’amour de son prochain et affirme que même dans les batailles, il faut aimer ses adversaires et, s’il le faut, les tuer avec amours en leur épargnant le plus de souffrances possible. Si Elohim ne combat pas les forces du mal, il passe son temps à étudier, à s’entraîner au maniement de l’épée ou à passer du temps dans les lieu de cultes où il prit de longues heures par jours, demandant grâce à la Puissance pour ce qu’il est, pour ce qu’il sera et pour tout le pouvoir qu’il y a entre ses mains lui permettant d’aider les autres et de s’aider lui-même. Il est très intelligent, réfléchi et sage pour son âge. Il apprend très rapidement et s’adapte vite et bien aux nouvelles situations. Par contre, il reste tout de même un esprit de compétition et d’acharnement en lui, résultat de son enfance mouvementée.

Histoire:

Histoire des anges.


Au renouveau était Mystros. Après le grand cataclysme, la rébellion de la nature contre la race humaine, l’Essence, cette forme d’énergie magique aida les humains à survivre. Elle entraîna toutefois certaine mutation chez les humains. La première race fut créée avec l’apparition des Vampires. D’autres créatures de toutes sortes virent ensuite le jour. Selon les Écritures, les anges auraient été envoyé en royaume de Mystros par la Puissance pour y aider les humain à s’adapter à ce bouleversant changement qu’était l’apparition de l’Essence et pour contrebalancer les force obscure qui ne manqueraient pas d’en profiter pour apparaître et prendre forme matérielle.

Les trois premiers anges envoyés en Mystros, Les Trois Archanges, eurent pour mission de rapatrier les anges qui naîtraient un peu partout dans le royaume et de créer une école pour leur enseigner comment vivre et servir le bien. Pour les aider dans cette dure tâche, la Puissance dota tout les anges, présent et futur, une tache de naissance représentant un ange prêt au combat, les ailes déployées, l’épée au clair dans une main et une manifestation de l’Essence dans l’autre le tout étant tracé sur le plexus solaire de l’ange. La Puissance dota aussi certains anges, dont les Trois Archanges, de la capacité de savoir quand un ange naîtrait, sans toute fois en connaître l’emplacement exact. C’est ainsi que les Archanges commencèrent leur travail, informant les habitants que, si un de leur enfant naissait avec cette tache particulière, ils devaient le leur signaler pour qu’ils puissent mener cet ange vers son destin. Ces êtres célestes allaient apprendre, à l’Académie des Trois Archanges, comment se battre, mais aussi comment acquérir une sagesse relative aux connaissances que les Archanges leur inculqueraient, ceux-ci étant remplis d’une partie du savoir de la Puissance, ils savaient tout ce qui était relatif à leur mission, soit enseigner aux anges et les guider durant leurs premières années d’apprentissage.


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Dernière édition par Knochen le Lun 9 Mar - 20:55, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Présentation d'Élohim Varidan (Pas terminée) (6 000/10 000) Ne répondez pas tant que je n'aurai pas fini l'histoire SVP.   Présentation d'Élohim Varidan (Pas terminée) (6 000/10 000) Ne répondez pas tant que je n'aurai pas fini l'histoire SVP. Icon_minitimeSam 6 Déc - 18:36

Histoire de Elohim Varidan.

Première partie : L’enfance


Elohim Varidan ne s’est pas toujours appelé ainsi. Il est un ange, mais il ne l’a pas toujours su. Quand il est né, ses parents lui donnèrent le nom de Vivion Saldar. Ses parents étaient des paysans de métier, et quand ils remarquèrent la tache de naissance de Vivion, ils furent stupéfaits, mais n’en parlèrent point. Il ne voulait pas que les Archanges viennent leur arracher le seul héritier masculin de leur famille. Les autres enfants du couple étant exclusivement des filles, cinq filles pour être précis. Le jeune Vivion grandi dans une famille aimante. Ses parents prenaient soin de lui, ils y faisaient attention sans toute fois le gâter. Ils voulaient un jeune homme fort qui pourrait prendre le relais sur les terres familiales à la mort du père. C’est pourquoi, des qu’il eu six ans, son père commença à l’emmener avec lui aux champ pour q’il apprenne le travail qu’il ferait tout sa vie. Il apprenait très rapidement et à douze ans, il en savait plus que son père sur tout les sujet qui couvrait de près ou de loin l’agriculture. Pendant tout ce temps, personne ne lui parlait des anges ou de sa peau trop pale et il ne posait pas de questions sur sa curieuse tache de naissance. Il aimait sa vie comme elle était, bien qu’à douze ans on n’ait point une vision bien grande de la vie.

Son existence prit un tournent différant quand il demanda à ses parent s’il pouvait avoir un maître qui lui apprendrait à lire, à écrire et a compter pour qu’il puisse mieux gérer l’entreprise qu’était l’exploitation agricole de son père. Au début, il reçut un non catégorique de la part de ses parents, eux qui avait encore un peu peur que leur seul garçon leur soit enlevé par les Archanges, mais il les travaillait tant et si bien qu’un jour ils acceptèrent de l’envoyer chez le frère de son père qui s’occuperait de son éducation. Ces parents agréèrent à sa demande uniquement quand il leur mentionna tous les avantages d’avoir une éducation un peu plus soignée. La possibilité d’éviter de se faire arnaquer quand viendrait le temps de signer des accords de ventes fut, en fait, l’argument bélier. Sa mère écrit donc de façon sommaire à un oncle en ville pour savoir s’il acceptait bien de s’occuper de Vivion le temps de son apprentissage.

Quand ils reçurent la réponse positive de l’oncle, son père lui confia un peu d’argent au cas où il en aurait besoin, en lui recommandant de ne pas la perdre. Sa mère, elle, lui empaqueta de quoi manger pour sept jours et, tandis que ses sœurs lui souhaitaient bonne chance, il partit de la maison pour la première fois en promettant de venir leur tendre visite aussi souvent que possible.

Il commença donc son voyage vers la ville la plus proche, Valtros, qui se situait à six jours de marche de la terre de son père. Il marcha longtemps, mangeant quand il avait faim, s’arrêtant quand il était fatigué, dormant à la belle étoile dans les couvertures que sa mère lui avait tissées.

Au bout de cinq jours de marche et de découverte de toutes sortes, tels de fabuleux paysages, des animaux qu’il n’avait jamais vus et plus encore, Vivion observa un phénomène encore plus étrange. Pendant qu’il marchait, il vit une troupe d’être volant, ressemblant à des humains ailés, parcourir le ciel à toute vitesse. Il eut peur et se cacha dans un buisson. Il n’en revenait pas. Il se torturait les méninges pour essayer de comprendre ce qu’étaient ces drôles de créatures, mais il n’arrivait pas à les identifier. Il décida donc de remiser cette expérience dans un coin de son esprit en essayant de se convaincre qu’il avait halluciné. Après avoir attendu un certain temps, il sortit de sa cachette et continua à marcher. Plusieurs heures plus tard, quand le crépuscule tomba finalement, il put voir clairement la ville de Valtros au loin. Il était heureux : son voyage tirait à sa fin.

Le lendemain, il continua à marcher vers la ville pour l’atteindre en milieu de journée. Les créatures ailées étaient complètement sorties de son esprit quand il traversa la muraille de la citée par une arche. Il s’y arrêta en plein milieu, se faisant bousculer par des passants qui entraient ou sortaient par celle-ci. Il ne s’en souciait pas le moins du monde tout fasciné qu’il était par les nombreuse gravures d’ange sur le faite de l’arche. Certains se battaient contre des créatures hurlantes, d’autre enseignait à leur semblable plus jeune et d’autre encore volait à toute vitesse vers une destination inconnue. Vivion se remis lentement en marche se souvenant soudain des créatures qu’il avait vues le jour d’avant.

*C’était donc des anges*

Il fut envahit par un frisson qui lui remontait le long de la colonne vertébrale du à la seule prononciation du mot ange. Sa surprise fut encore plus grande quand il pénétra dans la ville. Des anges, il y avait des anges qui volaient dans le ciel. Sa surprise fut encore plus grande quand il remarqua que ceux-ci avaient la même couleur de peau, blanchâtre, que la sienne.

*Et si j’étais un ange moi aussi?*

Ce fantasme commença à naître dans son cerveau, il l’espérait vraiment. C’est alors qu’un passant le bouscula un peu plus fort et l’envoya valdinguer dans un canal d’évacuation d’eau usée. La réalité faisait surface : il ne devait sûrement pas être un ange, les anges était gracieux, si grand et si fort… Il sorti lentement du caniveau et se rendit lentement vers un endroit où il pourrait se renseigner au sujet de Varin Saldar, son oncle paternel qui s’occuperait de l’envoyer dans une école et de défrayer tous les coûts qui y étaient reliés. C’était grâce à son père que l’oncle en question avait pu, quelques années plus tôt se hisser au rang de maître commerçant et il avait accepter d’aider son neveux à acquérir une éducation digne de se nom un peu à contrecoeur, mais il savait qu’il devrait rembourser sa dette et il préférait ce moyen à un autre.

En marchant dans la ville, il remarqua un établissement de restauration et d’hôtellerie. Il décida d’y faire escale pour y demander son chemin en plus de prendre un bain. La poussière de six jours de marche en plus de son plongeon dans les égouts de la ville n’avait en rien améliorée son odeur et il ne souhaitait pas arriver chez son oncle dans cet état.
Cette espèce d’auberge se nommait ‘‘À la Rescousse du Voyageur’’. Ce nom sonnait bien aux oreilles de Vivion et c’est ainsi qu’il poussa la porte de l’établissement. C’était une belle bâtisse, bien plus belle que sa maison. Des boiseries encadraient toutes les porte et les fenêtres donnant à la pièce un cachet immense pour un jeune paysan comme lui. Il sonna au comptoir et une employée répondit présente en fronçant le nez devant l’odeur dégagée par le jeune garçon.


-Que puis-je pour toi mon garçon ?

-Je souhaiterais prendre un bain madame. Combien est-ce s’il vous plait ? J’aurais aussi une question à vous poser…

-Le bain d’abord, les questions ensuite. Cela fera dix pièces de bronze.

Vivion sortit le montent de sa bourse et le donna à la tenancière qui lui fit signe de le suivre. Ils montèrent un long escalier recouvert d’une épaisse moquette passant devant bon nombre de fenêtres qui donnait sur une ville remplie d’activité. Une troupe d’anges passèrent soudain devant une fenêtre faisant sursauter le garçon qui s’arrêta soudainement. La femme, sentant que Vivion ne suivait plus se retourna.

-Voyons mon garçon, s’il est bien une chose qui ne devrait pas te faire peur, ce sont bien les anges. Ils protègent cette citée et ses environs. C’est même ici que l’Académie des Trois Archanges est située.

Il y avait de nombreux point d’interrogation dans la voix de Vivion quand il répondit à ce commentaire emplit de fierté.

-L’académie de quoi, une école d’anges ? Mais q’est-ce que c’est que ça ?

C’était au tour de la femme d’être étonnée.


-Ne me dit pas que tu ne connais pas l’Académie ? Et les anges ? Non plus ? Tu sais voyons, l’histoire de la tache de naissance qui représente un ange sur leur poitrine ? Toujours rien ?

Vivion se sentait vraiment bizarre. Il ne comprenait plus rien. L’espoir fou qu’il serait un ange refit surface. Il en avait une tache de naissance bizarre et elle représentait bien un ange. Il y avait pourtant encore de l’incompréhension dans ces yeux tant et si bien que l’employée abandonna l’espoir de lui faire comprendre et le guida tout simplement vers une pièce où il y avait une vasque remplie d’eau fumante. Elle lui pointa le pot de savon, les serviettes et lui indiqua de tirer sur une cordelette sortant d’un mur quand il aurait terminé avant de quitter la pièce.

Vivion se déshabilla lentement. Il débarrassa ses poches de leur contenue, les transvidant dans son sac de voyage et jeta ses vêtements souillés dans une cuve où il serait brûlé, la dame lui ayant assuré qu’ils étaient irrécupérables. Il entra dans l’eau chaude, savourant ce moment rare, avant de commencer à se laver. Il se savonna et se rinça jusqu’à ce qu’il soit bien propre et que l’odeur dont il était imprégnée disparaisse complètement. Ensuite, il sortit de l’eau, se séchant dans les serviettes disponibles, les trouvant douce et confortable. Il tira ensuite le cordon et une deuxième femme vint le chercher, le conduisant jusqu’à la porte de l’hôtel. Avant de quitter celui-ci, Vivion demanda à la deuxième femme le chemin qu’il devait emprunter pour rejoindre la maison de son oncle. Celle si lui indiqua le chemin, précisant que c’était dans le quartier marchand et que si jamais il se perdait là-bas, n’importe qui serait capable de lui indiquer la maison du maître marchand Varin Saldar.

On était en début d’après midi en cet automne radieux et, à la clarté du jour, Vivion n’eu aucune difficulté à trouver la maison de son oncle, on devrait plutôt dire la villa, qui était la plus grosse de tout le quartier marchand. Il s’annonça aux gardes qui protégeais la propriété, leur disant qu’il était Vivion Saldar et qu’il était attendu par son oncle. Un des garde le toisa avec suspicion puis partit dans les entrailles de la propriété pour revenir quelques instant plus tard.


-Tu es attendu. Entre, un serviteur te conduira aux quartiers du maître.

Le jeune garçon suivi un serviteur qui le conduisit jusqu’à un bureau. Dans cette pièce, il y avait plus de richesse que ce que possédait tout les habitants de son village natal. Il était vivement impressionné. Ensuite, son regard tomba sur son oncle. Son père l’avait averti que son frère n’étai pas très amical, mais là, Vivion distinguait une aura de froideur extrême autour de son oncle. Il n’était pas très grand, avait des cheveux d’un noir insondable et ces yeux, c’était de ces yeux que provenait cette impression de froideur. Il était d’un bleu glacial et figeait presque sur place quiconque les fixait.


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MessageSujet: Re: Présentation d'Élohim Varidan (Pas terminée) (6 000/10 000) Ne répondez pas tant que je n'aurai pas fini l'histoire SVP.   Présentation d'Élohim Varidan (Pas terminée) (6 000/10 000) Ne répondez pas tant que je n'aurai pas fini l'histoire SVP. Icon_minitimeSam 6 Déc - 18:36

-Bonjour mon neveu. Je suis heureux de te rencontrer. C’est fou ce que tu as grandi depuis la dernière foi que je t’ai vu !

Ses paroles disaient quelques choses que ses yeux et son attitude démentaient. Ils discutèrent un peu de chose et d’autre. Son oncle l’informa qu’il était rarement présent, que s’il avait un problème, de s’adresser à la domesticité et que ses cours allaient commencer le lendemain. Son oncle fit signe à un domestique qui s’empressa de diriger Vivion vers sa chambre en le faisant passer par la cuisine pour qu’il puisse se retrouver dans la villa. Il lui montra aussi les endroits où il avait droit d’aller et lui pointa de loin ceux où il ne devait pas mettre les pieds. Le serviteur finit par le guider à sa chambre et l’abandonna sur le seuil, lui disant que le souper serait servi au coucher du soleil.

Vivion entra lentement dans sa chambre, empresser de voir quelles merveilles l’ornerait pour faire suite à la sublime décoration du bureau de son oncle. Il fut déçu. Sa chambre répondait en tous points à l’image de la chambre du serviteur en un peu plus grand. Pas de décoration sauf un vieux portrait d’un membre éloigné de la famille. Il était tout poussiéreux, mais Vivion n’eu pas le cœur à le nettoyer. Il passa le reste de cet après-midi mémorable par trop de déception, tel que l’accueil froid de son oncle et la misérable chambre dans laquelle il passerait au moins deux ans, à aménager sa chambre et à dormir, fatigué par ces nombreuse journée de marche.

Le soleil était couché depuis cinq bonnes minutes quand Vivion se réveilla. Voyant que le soleil s’était couché et sentant son estomac gargouiller, il eu un sursaut d’adrénaline. Il s’humidifia le visage et courut jusqu’à la salle à dîner. Son oncle le regarda entrer en coup de vent, un air désapprobateur sur le visage. Il ne le dit pas, mais Vivion senti le reproche. Ils dînèrent en silence et quand le dernier serviteur fut parti avec le dernier plat, Le frère de son père lui tint un discours sur l’importance d’être à l’heur pour ses classes arguant que l’honneur de la famille Saldar était en jeux. Il lui fit promettre aussi d’un ton glacial d’obéir à son professeur sous peine d’être revoyez chez lui. Le jeune garçon de douze ans acquiesça en silence, de peur d’offusquer plus son oncle. Il retourna se coucher le cœur lourd de responsabilité.

Le lendemain, un serviteur vint le réveiller, le guida vers la salle d’eau, attendit qu’il fasse un brin de toilette, lui servi à déjeuner et l’emmena à une école pour jeune fortuné. Sa première journée fut désastreuse. Il n’était pas du tout au même niveau et il se fit réprimander par le professeur en plus de se faire ridiculiser par ses pairs au sujet de sa peau blanche. On le traitait d’erreur de la nature. On ne comprenait pas qu’il ait la peau blanche sans être un ange, car il n’était sûrement pas un ange, non, il était bien trop stupide et faible pour ça et puis de toute façon, les anges sont recueillis à leur naissance. S’il ne l’avait pas pris, c’était à cause qu’il n’en valait pas la peine. De retour chez son oncle, les larmes aux yeux et un drôle de goût dans la gorge, il se promit de devenir le meilleur. Il demanda à un serviteur qui passait de le conduire à la bibliothèque et de lui sortir des ouvrages pour rattraper ses compagnons de classe. Il voulait surpasser leurs connaissances et il se mit à l’ouvrage à l’aide des maigres capacités de lecture et d’écriture que lui avait enseigné sa mère.

Les semaines qui suivirent cette première journée de classe fur marqué par le désir de devenir le meilleur. Sitôt de retour de l’école, il s’enfermait soit dans sa chambre, soit dans la bibliothèque pour étudier et apprendre. Quand il eut atteint le niveau de ses compagnons, on lui permit enfin de pratiquer l’escrime, cet art enseigné aux nobles. Il y montra un intérêt marqué et devint rapidement meilleur que ses condisciples.

Des mois passèrent, il n’y avait rien de nouveau dans la relation que Vivion entretenait avec son oncle. Celui-ci se contentait de recevoir les commentaires du maître avec un hochement de tête lorsqu’ils étaient positifs et un grognement désapprobateur lorsqu’ils étaient négatifs. La vie du garçon était simple. Il se levait, se lavait, déjeunait, allait à l’école, suivait une leçon d’escrime avec le groupe avancé dont les membres avait au moins deux ans de plus que lui, retournait chez son oncle, étudiait pour le lendemain, soupait, lisait pour son propre compte et se couchait. Chaque jour étant une copie très similaires du précédant. Il visitait quelques fois sa famille, marchand pendant six jours, passant deux jours avec eux, leur racontant une partie de ce qu’il faisait et retournant à Valtros ensuite ayant douze jours de classe à rattraper.

Cette vie d’humain se poursuivie jusqu’à la fin de sa deuxième année d’apprentissage. Il avait fini par s’adapter à son milieu. Plus personne ne l’insultait et sa peau blanche était mise sur le compte d’une maladie infantile. Il était rendu assez bon à l’école au point où le maître avait décidé que dès l’année suivante, il pourrait commencer à étudier les Écritures. Vivion avait alors quatorze ans et c’est en ce temps là qu’il rencontra pour la première fois des anges. Il avait manqué le dernier cours d’escrime et quand il arriva au suivant, il eu la grande surprise de voir des anges aux cheveux argentés près de son professeur. Ce dernier pris la parole.


-Les enfants, laissez moi vous présenter le Troisième Archange. Comme vous êtes tous supposer le savoir, il vient nous visiter à tous les deux ans pour remarquer vos talents et voir si vous êtes digne de faire partie de l’infanterie de support à l’armé angélique. Vous allez donc vous battre entre vous amicalement jusqu'à ce qu’il ne reste que les gagnants de trois combats. Ce qui fera six heureux élus qui seront pris sous l’aile d’anges pour peaufiner votre entraînement de soldat. Tout le monde en place !

Pendant le discourt du maître entraîneur, Vivion n’arrêtait pas de fixer l’Archange tant et si bien que celui-ci fini par le regarder dans les yeux. Une sagesse infinie et quelque chose d’autre comparable à une étincelle, c’est ce que vit Vivion avant de détourner le regard, incapable de soutenir celui de l’Archange. Son entraîneur cria subitement son nom. Le garçon se reprit et entra dans le cercle pour affronter son adversaire. Il battit le premier, mais, tout à sa fascination pour l’être céleste, il perdit son combat et fut relégué au banc des perdants.

Il attendit donc que les six gagnants aient été désignés, retrouvant parmi ceux-ci l’adolescent contre qui il avait perdu. Il était perdu dans ses pensés. L’Archange le fascinait, mais il ne saurait dire pourquoi. Il n’entendit presque pas le discours du maître félicitant les six concurrents qui avait atteint la première position et recommandant aux autres d’être près dans deux ans, quand il y aurait une nouvelle sélection. Il ne vit pas non plus l’Archange se pencher à l’oreille du maître escrimeur et entendit encor moins celui-ci demander à rencontrer cet étudient à la peau si blanche.

Son entraîneur vint vers lui et lui communiqua très clairement que l’Archange voulait lui parler et que celui-ci l’attendait dans le bureau du dit entraîneur.

Vivion se dirigea tranquillement vers le bureau qu’il lui avait été pointé. Il se demandait bien ce que pouvait bien lui vouloir cet être si différent, lui qui n’avait même pas réussi à gagner trois combats. Il entra dans le bureau et s’assit devant une table, l’Archange lui tournant dos face à une fenêtre. Il ne parlait pas et Vivion eut amplement le temps de détailler les magnifiques aile au plumes de lumière qui étaient repliées dans le dos de l’Archange. Après quelques minutes d’attente, ce dernier prit la parole en se retournant.


-Comment t’appelles-tu mon jeune ami ?

-Je me nomme Vivion Saldar.

-Pourquoi as-tu la peau blanche ?

-Je ne sais pas Monsieur, ma mère m’a toujours dit que c’était à cause d’une maladie que j’ai eu quand j’était bébé.

-Et aurais-tu une étrange tache de naissance sur la poitrine ?

Vivion ne voyait vraiment pas où l’Archange voulait en venir.

-Heu, oui, mais pourquoi me posez-vous toutes ces question ?

L’Archange eut l’aire légèrement surpri, mais cette émotion demeura que quelques instant sur son visage.

-Écoute mois bien petit, je vais te raconter une histoire elle t’éclairera grandement sur le pourquoi de ma rencontre avec toi.Il y a à peu près quatorze ans de cela, quelques uns de nos anges, mes confrères Archanges et moi-même, sentirent dans nos esprit qu’un nouvel ange était né à presque six jours de marche d’ici. Nous étions heureux, car c’était le dernier ange que les écritures prévoyaient avant longtemps. Nous nous sommes donc mis en route pour essayer de le trouver, mais nous n’avions reçu aucune information de familles quant à la naissance d’un autre ange. Nous étions grandement déçu et nous rentrèrent donc bredouilles à l’académie. Toutes les années suivantes, nous envoyâmes des patrouilles régulièrement pour tenter de retrouver cet ange perdu, mais nulle trace de lui nulle part. Aucun autre ange ne naissait et nous avions besoin de ce nouveau membre de la famille des anges. Ce n’est que récemment que nous eurent des nouvelles de cet ange. Une patrouille avait ressenti sa présence sur une des nombreuses routes menant à Valtros, mais quand ceux-ci tentèrent de le contacter, le jeune ange avait disparu.
Il n’y eut plus de trace de celui-ci jusqu’à aujourd’hui. Tu es cet ange je crois, nous t’avons enfin retrouvé. Montre moi ta tache de naissance et je pourrai le confirmer.


Vivion était éberlué. Mais au fond de lui, il savait que ce que cet Archange disait était la vérité. Il enleva sa tunique de lin pour que l’autre puisse examiner sa tache de naissance.

-Oui, elle est très nette, habituellement, c’est le signe que tu développeras, avec le temps, de grand pouvoir. Si tu le veux bien, nous allons retourner où tu habites pour prendre tes affaires et ensuite, nous irons à l’Académie des Trois Archanges pour que tu puisses enfin vivre ce que tu aurait du vivre depuis ta naissance.

L’enfant opina du chef et partit avec l’Archange jusqu'à chez son oncle. Les gardes eurent une réaction de crainte quand ils virent que Vivion était accompagné d’un personnage de marque. Il le laissèrent entrer avec crainte, en délégant à un domestique la tâche de les escorter jusqu’au bureau de maître. Celui-ci fut impressionné par l’être en compagnie de son insignifiant neveu et sa façon d’agir n’était plus glaciale du tout.

-Que puis-je faire pour vous Maître ?

-Je quitterai bientôt votre demeure et j’emmènerai ce jeune ange avec moi.

Une lueur de profonde incompréhension illumina les yeux du maître commerçant Varin Saldar. Il ne suivait vraiment pas les propos de l’Archange.

-Un ange ? Excuser moi, mais je crois que je ne comprends pas. Ce jeune garçon n’est pas un ange, c’est le fils de mon frère. S’il a la peau blanche, c’est parce qu’il a eu une maladie infantile rare. Il vit chez moi depuis deux ans pour recevoir une instruction digne de se nom. Ses parent me l’on confié dans ce but…

-Eh bien dites-vous qu’il ne peut pas recevoir de meilleure éducation que celle que nous allons lui prodiguer et que ce garçon est vraiment un ange. Sa tache de naissance le prouve. Alors mon garçon, vas chercher tes affaires, nous partons bientôt.

L’Archange ne laissa pas le temps au marchand de répondre qu’il envoyait du dos de la main Vivion à sa chambre pour y empaqueter ses affaires. Ce dernier vivait sur un nuage depuis presque une heure. Il fit un paquet avec tout ce qu’il possédait avant de le ranger dans son sac de voyage. Il ajouta à cela son épée de pratique et redescendit voir le Troisième Archange.

Pendant ce temps, l’être angélique avait eu une discussion quant au terme de l’accord que l’oncle signait de par son droit d’autorité familiale qui disait que la famille ne retiendrait pas l’ange qui est né de par eux et qu’ils ne pourront plus obliger l’ange à reconnaître son ancienne famille comme tel.

L’oncle de Vivion n’eu pas vraiment le choix. Il signa l’accort et il laissa partir son neveu sachant qu’il devrait subir les foudres de son frère et de sa femme, mais il se consolait en se disant que nul ne pouvait s’opposer ou même résister à un ange.

Vivion avait rejoint l’Archange et celui-ci le pris dans ces bras et s’envola avec lui vers l’Académie des Trois Archanges. Vivion était heureux. Un de ses plus grands rêves inavoués se réalisait enfin.


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MessageSujet: Re: Présentation d'Élohim Varidan (Pas terminée) (6 000/10 000) Ne répondez pas tant que je n'aurai pas fini l'histoire SVP.   Présentation d'Élohim Varidan (Pas terminée) (6 000/10 000) Ne répondez pas tant que je n'aurai pas fini l'histoire SVP. Icon_minitimeSam 6 Déc - 18:38

Seconde partie : L’apprentissage

Quand ils montèrent dans les airs, Vivion eu peur d’avoir le vertige. Il lui était déjà arrivé, étant plus jeune, de monter en haut d’un arbre, défié par ses amis, et il avait eu un horrible vertige. Il fut surpris de constater qu’il aimait voler. Durant les quelques minutes que durèrent le trajet, Vivion put observer la ville d’en haut. Elle était gigantesque. Il y avait plusieurs artères se réunissant au centre par un rond-point qui entourait l’Académie des Trois Archanges, leur destination. Ce qu’il ressentait n’était pas facile à vivre et l’Archange, compatissant, respectait son silence. Il savait bien que, une fois avoir atteint l’Académie, le petit le bombarderait de question.

Le vol dura à peine cinq minutes et Vivion remis les pieds sur terre. L’archange l’avait emmené juste en dehors de l’enceinte de l’Académie. Vivion était bouche bée. Il se rappelait d’avoir déjà observé de très belles constructions, mais rien ne se comparait à l’Académie. Le troisième Archange, voyant son trouble et sentant venir la question, décida d’y répondre avant même qu’elle soit formulée.


-L’académie des Trois Archanges a été conçue par la Puissance elle-même. C’est-ce qui explique la grande pureté de ses formes, sa légèreté, sa grande beauté et l’impossibilité de l’assiéger. C’est une véritable forteresse. Elle s’étant sous le sol que sur celui-ci. Ce que tu vois devant nous, c’est la grande porte. Elle mesure quatre mètres de haut par six de large. Elle est prévue pour laisser sortir nos combattant lors d’un siège car c’est un procédé magique qui l’ouvre et la ferme. Parlant de magie, cette porte, que l’on appelle communément la bouche de Dieu, est protégée par l’Essence comme tout le reste du château d’ailleurs. De toute façon, tu apprendras tout cela bien vite avec les anges chargés de t’instruire.

- Instruit ? Par des anges ! Chouette, mon précédent instructeur n’était jamais capable de répondre à mes questions.

-Ne t’inquiète pas. Les seules questions auxquelles nous ne pourrons pas répondre, c’est celles auxquelles nous ne possédons pas le savoir. Ce sera donc à toi de découvrir les réponses à ces questions.

-Comme quel genre de questions ?

-Tu le sauras bien assez vite.

Vivion ne comprenait pas tellement ce que voulait dire l’Archange par les questions auxquelles même les Archanges n’aurait pas de réponses. Il le suivi tout de même à l’intérieur de la forteresse, impressionné quand la bouche de Dieu s’ouvrit dès que l’Archange s’approcha d’elle. La bouche de Dieu. Cela faisait une drôle d’impression à Vivion. C’était comme si il se faisait ingurgiter par ce Dieu dont il ne connaissait pas grand-chose comme il s’en rendait lentement compte.


C’est ainsi que Vivion entra dans l’Académie des Trois Archanges, mais il n’avait aucune idée pour l’instant de l’âge à laquelle il en sortirait.

Une fois passé le portail, Le Troisième le guida vers l’endroit qui était désigné comme étant ses quartiers. Sa suite, car c’était bien une suite, était située dans une des nombreuses tours de l’Académie. On y accédait par un escalier dans le centre de la tour. À chaque étage se situait une suite différente et elles étaient toutes séparées de façon identique. En sortant de l’escalier en colimaçon, on arrivait dans un vestibule circulaire percé de six portes. Chacune des pièces étaient de forme trapézoïdale dont la plus grande base serait un arc de cercle en harmonie avec les parois de la tour.
Une des six pièces était meublé comme une chambre à coucher. Une grande fenêtre perçait le mur, une fenêtre qui, selon les désirs de l’occupant de la chambre, pouvait devenir opaque pour avoir plus de discrétion, ou tout simplement, pour dormir dans le noir.
La seconde pièce sur la droite était la salle d’eau. Il y avait un bain de plusieurs milliers de litre, pour la détente, et d’un ingénieux système permettant de prendre une douche chaude à souhait. Il y avait des serviettes moelleuses et du savon doux à l’odeur agréable sur le bord du bain.
La troisième pièce, encore sur la droite, était dédiée au travail. Elle était meublée d’un imposant bureau d’acajou et de plusieurs étagères pleines de livres. Devant ce bureau, il y avait une chaise au la courbes ergonomiques pour les longues heures d’étude ou de travail acharné.
La quatrième pièce était plutôt un salon où on pouvait recevoir quelques invités confortablement. De longs divans de cuir bleuté invitaient à s’asseoir devant un magnifique foyer dans lequel on pouvait faire une bonne attisée.
La cinquième pièce était plutôt une salle à manger pouvant recevoir huit personne et elle possédait aussi une petite cuisine. Ce qui est fantastique dans cette cuisine, c’est la plaque magique avec laquelle on peut faire cuir ses aliments sans feux et le placard froid où les aliments se conservent longtemps.
La sixième et dernière pièce était une petite salle d’entraînement avec quelques ingénieuses machines dédiées à la musculation. Une salle qui, ne concurrençant pas avec la salle d’entraînement commune, était tout de même pratique pour se réchauffer un peu au réveil ou au couché.

Quand Vivion découvrit ces pièves, il n’en revint pas. Il s’exclama bruyamment devant la magnificence des lieux et, n’ayant jamais vécu dans pareil palace, les comparait au paradis. L’Archange le repris gentiment en lui disant que le paradis était bien plus somptueux et que c’était les chambres dédiées aux apprentis. Il rajouta qu’il verrait bien ce qu’était le confort quand il graduerait de l’Académie.

Vivion posa donc une question à l’Archange.

- Maître, à quel âge gradue-t-on ?

-Cela dépend des élèves. Habituellement, ils terminent leurs études à 150 ans.

-150 ans! On peut vivre jusque là ?

-Oui jeune élève. Les anges sont immortels tant qu’ils ne sont pas tués. Nous sommes comme les humains, vulnérable aux blessures de la chaire.

-Wow... Mais alors, je ne verrai plus mes parents ? Quand je sortirai de là, ils seront morts depuis longtemps !

-C’est une des grandes certitudes des humains de mourir… En plus, il serait préférable que tu ne revoies pas tes parents. C’est mieux pour toi et pour ton apprentissage.

-Je comprends…

Sur cette réponse, l’Archange quitta la suite de Vivion en lui souhaitant bonne nuit. L’Archange rajouta aussi que quelqu'un viendrait le chercher le lendemain à sept heure pour débuter son apprentissage.


Vivion ouvrit lentement la porte de la chambre à couchée. L’atmosphère qui régnait en ce lieu le faisait se sentir tout petit. Il se déshabilla, chercha un panier quelconque pour y déposer ses vêtements, mais, n’en trouvant pas, il les laissa tomber sur le sol. Le jeune adolescent se glissa lentement sous les couvertures. Elles étaient chaudes et moelleuses. Il laissa lentement le sommeil le gagner.

Vers six heure cinquante-huit, le lendemain matin, Vivion s’éveilla en sursaut. Quelques minutes plus tard, on cogna à la porte de sa chambre. Il chercha des vêtements. Ne voyant que ceux qu’il avait portés le jour précédent, il les enfila rapidement et ouvrit la porte. Il suivit l’ange qui l’attendait de l’autre côté.

Vivion entama la discussion, quelques questions en tête.


-Bonjour, quel est votre nom ?

-Je me nomme Kalig Arar, mais tu peux m’appeler maître Arar. Je serai ton premier instructeur. Je m’occuperai de toi jusqu’à ce que tu atteignes ta troisième décade.

-Décade ? C’est quoi une décade ?

- C’est dix ans humain. Quand tu auras trente ans humains, c’est un autre ange qui prendra la relève. Cela changera ainsi à chaque décade. Puisqu’il nous a été impossible de te prendre sous notre aile avant, je demeurerai avec toi plus longtemps. Je suis un des anges les plus instruit de toutes l’Académie, derrière les Trois et quelques autre plus vieux que moi, bien sur. Alors, commençons la visite.

Vivion suivi maître Arar à travers les bâtiments de l’académie. Le maître commença par lui faire visiter la bibliothèque, l’endroit où tout le savoir du monde était conservé. Il lui expliqua que la bibliothèque était séparée en trois parties.
La première, celle qui était accessible à tous ceux qui était capable d’en profiter, était conçue comme une bibliothèque normale, avec des rayons et des livres, beaucoup de livres, sur plusieurs étages.
La seconde partie était plus petite. Elle renfermait les ouvrages de savoir plus complexe qui n’était accessible qu’aux sages. C’était une salle de forme octogonale remplie d’étagères tapissées de livres qui donnait à cet endroit plus qu’à la première bibliothèque une atmosphère plus que solennelle.
Enfin, la troisième partie n’était réservée qu’aux anges ayant atteint le niveau de sagesse requise. Pour être certain qu’aucune autre personne que les anges aient accès à cet endroit, elle n’avait pas de plancher ni d’étagère. Ces livres, renfermant un savoir plus que dangereux, flottaient au dessus d’un abîme sans fin. Il fallait donc avoir des ailes pour consulter ces ouvrages et une âme pure, dénuée de toutes intentions malveillantes, sous peine de tomber sans fin dans les profondeurs.
Le maître sermonna Vivion lui défendant de mettre ne serait-ce que le bout d’un orteil dans cette pièce.

Ils passèrent aussi par un endroit qui servait d’atelier de couture où le maître demanda à ce que l’on taille des vêtements à la taille du nouvel arrivant puisque Vivion lui avait avoué qu’il ne possédait pas de vêtements de rechange. Cela pris une dizaine de minutes et les couturières certifièrent que l’une d’entre elle viendrait porter les nouveaux vêtements du garçon au matin. Il le conduisit ensuite au travers du château, lui expliquant quelles étaient les pièces qui le composait et quel était leur usage, et ce toutes la journée.

Cette première journée se termina quand, maître Arar reconduisit un jeune ange dans ses quartiers, épuisé par la visite qu’il venait de faire. L’ange fixa un rendez-vous le lendemain dans la première bibliothèque.

Le jeune ange se dévêtit et s’endormi en mettant la tête sur l’oreiller, épuisé par sa journée, se disant tout de même qu’il était heureux d’être où il était.

Quand Vivion se leva le lendemain matin, il trouva les vêtements sur le pas de sa porte tel que promis. Il allait les enfiler quand il se redit compte qu’il puait. Il commençait à se rendre compte que cela faisait bien quatre jours qu’il ne s’était pas lavé. Il se souvint de la journée d’hier et il se rendit compte que l’ange avait du supporter sa mauvaise odeur. Le rouge lui monta aux joues. Il se précipita dans la salle d’eau et apprivoisa le système appelé douche. Le fait de pouvoir se laver avec de l’eau chaude qui se renouvelait l’emplit de bien-être au point où il faillit arriver en retard à la bibliothèque.

Il arriva tout essoufflé.


-Je vois que tu as pris de l’avance sur le programme d’aujourd’hui. J’avais prévu l’entraînement physique pour cet après-midi… Essais de ne plus arriver en retard la prochaine foi.

-Je suis désolé maître. Cela ne se reproduira plus.

-Nous débuterons alors par des exercices de calculs et de géométrie.

C’est ainsi que commença l’apprentissage de Vivion Saldar. Un mélange d’entraînement mental et physique pour l’amener à être aussi bien en combat avec n’importe quelles armes qu’en pleine discussion sur des sujets philosophiques.

Les jours succédèrent aux jours, les mois aux mois et les années aux années. Rien de spécial n’arriva au jeune Vivion jusqu’à ses trente ans, mis a part le fait qu’il savait de plus en plus de chose et qu’il était de plus en plus fort.

Par contre, quelques jours avant la fête soulignant sa troisième décade, un messager arriva à l’Académie portant un message pour Vivion. C’était un message de la main de sa mère qui le priait de venir à la maison car son père était mourrant.




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Je la scrap pour mon plaisir.
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